Les prairies fertilisées à l'azote produisent jusqu'à six fois plus de pollen que les prairies qui ne le sont pas. Les personnes sujettes au rhume des foins en subissent davantage les conséquences, révèle mardi une étude menée par des chercheurs de la KU Leuven, de l'Université d'Anvers (UAntwerpen) et de l'Institut de santé publique Sciensano.