Les enseignants en colère protestent ce mercredi lors d’un "mercredi noir" marqué par des arrêts de travail et des actions en Wallonie et Bruxelles. Les syndicats dénoncent la fin des nominations au profit de CDI, jugés coûteux et idéologiquement motivés. Une grève massive est prévue le 27 janvier.
Dès ce mercredi, certains enseignants mèneront des actions symboliques dans leurs écoles avant une grande mobilisation les 27 et 28 janvier prochain. Leur objectif : contester la réforme menée par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Des critiques qui n'empêcheront pas pourtant sa mise en oeuvre, préviens Valérie Glatigny, ministre de l'Éducation et de l'enseignement de Promotion Sociale.
La Fédération Wallonie-Bruxelles est endettée et l'enseignement représente 65% du budget. La Ministre de l'Éducation pourrait-elle voir dans les salaires des enseignants une possibilité pour réduire cette dette ? Elle nous répond.
Georges-Louis Bouchez était l’invité de 7h50 sur Bel RTL ce jeudi matin. Le président du MR dit espérer un gouvernement pour la rentrée parlementaire, le jeudi 9 janvier, et il est aussi revenu sur l’obligation du néerlandais dans l’enseignement en Wallonie. Contrairement à sa propre ministre de l’Éducation, Valérie Glatigny, il veut maintenir l’idée de rendre le néerlandais obligatoire dès 2027.
Les syndicats de l'enseignement appellent leurs affiliés à observer deux jours de grève fin janvier pour dénoncer les économies et les réformes prévues par le gouvernement MR-Engagé dans le secteur.
Les syndicats d'enseignants se sont encore exprimés ce mercredi matin. Ils ont protesté contre la réforme du secteur, notamment concernant le qualifiant.
Dans le cadre de son budget 2025, le gouvernement de la FWB a décidé de réduire de quelque 15 millions d'euros les moyens du qualifiant, notamment en mettant un frein aux options comptant peu d'élèves ou encore en renvoyant les élèves majeurs en décrochage vers l'enseignement pour adultes (ex-Promotion sociale).
C'est une nouvelle étude accablante sur le niveau scolaire de nos élèves. L'étude Timss classe la Fédération Wallonie-Bruxelles 40ème sur 58 pays analysés. La Flandre, 24ème, est mieux logée mais dégringole au classement.
Les chiffres de l’absentéisme scolaire grossissent chaque année. La réponse ? Accompagner plutôt que réprimer, c’est l’avis unanime de la Fapeo (qui représente les parents d’élèves de l’officiel), de la Ligue des familles et du délégué général aux droits de l’enfant.
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