Frappée par un homme dans sa salle de fitness il y a deux ans, Maud ne s'attendait pas à l'y recroiser récemment, persuadée qu'il avait été banni comme le veut le règlement. Basic-Fit assure avoir suivi sa procédure stricte, mais l’agresseur n’a finalement reçu qu’un avertissement car les images de vidéosurveillance n’avaient pas permis de trancher clairement sur les torts de chacun.