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L'organisation de classes moyennes flamandes Unizo considère comme un "bon signe" les mesures d'économies décidées dans le cadre du contrôle budgétaire 2023 mais souligne que le gros du travail sera pour 2024. "Nous devrons alors faire un bond en avant", prévient son patron Danny Van Assche. Il regrette cependant les coupes dans la réduction des cotisations patronales.
Parmi les aspects positifs du contrôle budgétaire, l'organisation patronale cite la taxe sur les multinationales qui crée des conditions de concurrence plus équitables entre la fiscalité des PME et celle de ces géants. Elle juge également positives les mesures pour favoriser la mobilité interrégionale des demandeurs d'emploi.
L'Unizo considère toutefois que les PME devront supporter davantage de coûts en cette période de hausse des charges salariales et de forte inflation. Les employeurs devront également payer un supplément pour le chômage temporaire, déplore l'organisation.
Selon l'Unizo, une réforme "approfondie" des pensions et de la fiscalité est nécessaire pour 2024.
