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"'Il y a un accord de principe, mais il est convenu de ne pas en parler à ce stade pour des raisons de sécurité", d'après des sources gouvernementales. "Nous n'allons pas abandonner ces gens", assure-t-on.
A ce stade, il n'est pas encore déterminé si ce sera selon la voie d'une procédure d'asile, en principe impossible depuis l'étranger, ou d'un visa humanitaire. Les cabinets de la ministre de la Défense Ludivine Dedonder (PS) et du Secrétaire d'Etat en charge de l'Asile et la Migration, Sammy Mahdi (CD&V), ne souhaitent pas encore faire trop de publicité à la démarche. "Nous allons juger au cas par cas si des personnes en difficulté ont aidé les forces belges dans leur mission en Afghanistan. Si nécessaire, des mesures seront prises dans l'intérêt de ces personnes selon une procédure établie".
Selon De Standaard, le système sera expliqué dans la pratique dans les semaines qui viennent. Il n'est pas établi combien de personnes sont concernées. "Il ne s'agit pas d'une centaine", est-il suggéré.