Netanyahu affirme avoir éliminé le chef militaire du Hamas à Gaza, Mohammed Sinouar, alors que les frappes se poursuivent et que la faim pousse les Palestiniens à piller un entrepôt humanitaire. Un cessez-le-feu reste en discussion.
L'armée israélienne a annoncé avoir tué le chef de la sécurité intérieure du Hamas lors d'une frappe aérienne dans la bande de Gaza. En riposte, le mouvement islamiste palestinien a tiré des roquettes sur Israël, depuis Gaza.
Après la rupture du cessez-le-feu par Israël et les bombardements qui ont fait plus de 400 morts, selon les chiffres annoncés par le Hamas, les autorités hébreuses menacent de continuer leurs actions.
La Défense civile de Gaza annonce 413 morts après des frappes israéliennes nocturnes, les plus intenses depuis la trêve. Le Hamas accuse Netanyahu d’exploiter la guerre pour des raisons politiques et de sacrifier les otages encore détenus dans l'enclave palestinienne.
Plus de cinquante ex-otages israéliens de Gaza ont appelé le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, à conclure un accord de cessez-le-feu "complet" avec le Hamas pour permettre la libération du reste des captifs.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé mardi de reprendre "des combats intenses" dans la bande de Gaza "jusqu'à ce que le Hamas soit définitivement vaincu" s'il ne libère pas "nos otages" d'ici à samedi.
Le président américain Donald Trump a affirmé que les Palestiniens n'auraient pas le droit au retour dans le cadre de son plan pour Gaza, dans un extrait d'interview dévoilé lundi.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.
Israël garde "le droit de reprendre la guerre" contre le Hamas à tout moment avec l'appui des États-Unis, aux termes de l'accord de trêve devant entrer en vigueur ce dimanche, a affirmé samedi soir le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé ce dimanche les Houthis d'agir "avec force et détermination", au lendemain d'une frappe des rebelles du Yémen ayant fait 16 blessés à Tel-Aviv, dans le centre d'Israël.
La présidente de la Cour pénale internationale (CPI) a fustigé lundi des attaques contre la cour, qui se retrouve la cible de "menaces, pressions, actes de sabotage" et traitée comme une organisation terroriste, après ses mandats d'arrêt pour les guerres à Gaza et en Ukraine.
Ce lundi pourrait être un tournant dans le conflit opposant le Hezbollah à Israël : le Premier ministre israélien serait ouvert à l'idée d'un cessez-le-feu.