À partir du 1er janvier 2026, les allocations de chômage seront limitées dans le temps : maximum 2 ans. 100.000 personnes risquent de se retrouver exclues du chômage. Elles pourraient devoir demander de l'aide au CPAS, même si le gouvernement promet une aide financière, les centres publics d'action sociale sont inquiets, surtout dans les grandes villes, où cette compensation pourrait ne pas être suffisante.
Le gouvernement fédéral veut s'attaquer aux chômeurs de longue durée. 100 000 personnes sont concernées et risquent alors de se retourner vers les CPAS, qui recevraient des primes... en fonction du nombre de bénéficiaires qu'ils remettent au travail. Ce projet ne fait pas l'unanimité.
Le ministre de l'Emploi, David Clarinval, souhaite que toutes les personnes sans emploi depuis plus de deux ans soient exclues du chômage. Celles-ci vont-elles se tourner vers le CPAS ? Comment les assistants sociaux vont-ils traiter cette surcharge de travail ?
Élisa (prénom d’emprunt), jeune étudiante, bénéficie du CPAS depuis plusieurs années. Aujourd’hui, elle confie recevoir son revenu systématiquement en retard. La lenteur administrative à laquelle elle fait face l'interroge : est-ce normal ? Les CPAS arrivent-ils à traiter correctement l'ensemble des demandes qui leur parviennent ?
La réforme des allocations de chômage est l'une des grandes mesures annoncées dans l'accord de gouvernement. La nouvelle coalition veut les limiter à deux ans maximum pour les moins de 55 ans, d'où cette inquiétude de Michel qui nous a contactés via le bouton orange "Alertez-nous": le propriétaire d'un bien immobilier qui perd ses droits au chômage pourra-t-il bénéficier des aides du CPAS ?
Dans la commune de Saint-Georges, située en province de Liège, une opération solidaire a vu le jour : des volontaires distribuent des colis alimentaires deux fois par mois à des familles en difficulté. L'année passée, vingt-deux tonnes de nourriture ont pu être distribuées.
Après le scandale révélé autour de certaines pratiques au CPAS d'Anderlecht, les représentants syndicaux de ce CPAS étaient reçus ce mercredi en commission des Affaires sociales. S'ils ont fait part d'une charge de travail insoutenable, de nombreux cas de burn-out, c'est un autre point qui a soulevé l'attention des députés.
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