Yoon Suk Yeol, ex-procureur devenu président, devient le premier chef d’État sud-coréen en exercice arrêté. Accusé de rébellion après avoir tenté d’imposer la loi martiale, son mandat bascule entre scandales et descente politique fulgurante.
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a proclamé mardi la loi martiale, affirmant que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des "forces communistes nord-coréennes" dans un contexte de débat parlementaire houleux sur le budget.