Alors que le métier d'infirmier est en pénurie, une étudiante en dernière année dans une école à Bruxelles dénonce les conditions de stage. Selon cette jeune femme, les stagiaires doivent souvent effectuer des tâches ingrates, ce qui nuit à la qualité de l'apprentissage. Et ils doivent payer des frais alors que le stage n'est pas rémunéré. Cette situation provoque, selon elle, un sentiment d'exploitation. Ce témoignage reflète-t-il la réalité? Peut-on parler d'une situation généralisée? Quels efforts ont été réalisés par le secteur pour améliorer la qualité des stages?