Le 1er mars 2004, il y a tout juste vingt ans, commençait le procès Dutroux et consorts. Ce procès historique allait, espérait-on, faire toute la lumière sur cette affaire qui empoisonnait la Belgique depuis l’été 1995. En juin de cette année-là, Julie et Melissa disparaissaient. Un an plus tard, Dutroux, son épouse et deux présumés complices étaient arrêtés. Deux victimes, Sabine et Laetitia étaient libérées. Vingt ans plus tard, revenons sur les 10 moments clés de ce procès désormais inscrit dans l’histoire. Aujourd'hui, nous abordons cette perquisition ratée du 13 décembre 1995.
C’est un homme brisé, un homme blessé qui témoigne ce matin-là. René Michaux entame le récit de sa perquisition ratée du 13 décembre 1995 dans la maison de Dutroux à Marcinelle. "À un moment, j’entends un chuchotis inaudible. Je suis intrigué, je cherche à délimiter l’endroit d’où viennent ces chuchotements. Je vais dehors, derrière et devant la maison, j’engage la conversation avec une voisine et ses enfants. J’en déduis que les chuchotements venaient de la rue".
"Vous n’avez pas pensé à crier les prénoms de Julie et Melissa ?", demande un juré. "Non, au contraire, j’...
OUI , il a malheureusement payé pour les incompétences notoires de certains magistrats et des hauts gradés de la police et de la gendarmerie !!! C ' EST REPUGNANT !!!