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A peine de retour à la Maison Blanche, Donald Trump va signer une série de décrets. Le nouveau président américain a d'ores et déjà mis la pression aux pays européens en leur demandant d’investir 5% de leur PIB dans la défense.
Dès la réélection de Donald Trump, Ecolo s'est inquiété pour "l'égalité, la décence, la liberté, la fraternité et le respect des limites planétaires". Le parti voit Donald Trump comme "le président le plus dangereux jamais élu à la tête des USA".
Même son de cloche du côté des écologistes flamands, qui ont vu en novembre la victoire d'un homme "qui porte la haine et sème la polarisation".
Le PS, quant à lui, a vu la réélection de Donald Trump comme "un tournant inquiétant pour la démocratie et les droits fondamentaux, qui renforce des dynamiques autoritaires et menace les acquis sociaux". Conner Rousseau, président du Vooruit, a de son côté parlé de "l'horreur aux Etats-Unis".
Seul le Vlaams Belang se félicite et se réjouit ouvertement de la victoire de Donald Trump. Le parti d'extrême droite flamand a interprété la défaite de Kamala Harris celle d'une candidate qui a nié les intérêts "simples gens", soit "le pouvoir d'achat et l'immigration", ce qui n'est visiblement pas le cas de Donald Trump, pour le Vlaams Belang.
