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Belgique - Italie EN DIRECT: des Diables Rouges complètement dépassés sont menés à la pause (0-1)

La Belgique affronte l'Italie ce jeudi soir en Ligue des Nations. Suivez ce choc, en direct, avec RTL sports. 

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Le direct

En direct

Belgique - Italie, le direct
C'est parti pour la deuxième mi-temps

Complètement à l'ouest en première mi-temps, les Diables Rouges ont 45 minutes pour montrer un autre visage. 

Un peu d'optimisme ?

Après une telle première mi-temps, voyons le bon côté des choses: ce n'est "que" 0-1. 

Un constat unanime

C'est la pause !

Première mi-temps catastrophique de nos Diables Rouges. Les 15 minutes de la pause suffiront-elles à effectuer toutes les modifications nécessaires ? On l'espère ! 

C'est trop facile pour l'Italie

Les Italiens créent le décalage sur le côté gauche après une magnifique passe de Barella de l'extérieur du pied. Déjà auteur du premier but, Tonali est cette fois contré juste avant de frapper. C'était chaud dans le rectangle belge. 

C'est calme, très calme

Une chose est sûre, le système mis en place par Domenico Tedesco ne fonctionne pas, les Italiens sortent trop facilement du "pressing" belge. Il faudra changer cela à la pause ! 

Enfin un peu de danger

Bonne première séquence belge, après 30 minutes de jeu. Aucune grosse occasion à signaler, mais enfin un peu de présence à l'entrée du rectangle adverse. 

Le ballon pour la Belgique mais...

Les Diables Rouges ne se trouvent pas, et ne parviennent donc pas à se créer des occasions. 

Un mauvais début de match

Le début de match des Diables Rouges ne va pas rassurer les supporters... 

BUT

De Cuyper se loupe complètement sur son intervention et permet à Tonali d'ouvrir le score après 10 minutes de jeu seulement. Il va falloir réagir ! 

Les premières observations

C'est Debast qui prend le centre de la défense, Theate est décalé vers la gauche, Faes vers la droite. Autre point important, notre trio offensif semble jouer en ligne en perte de balle avec Trossard sur la gauche et, pour le moment, Lukaku vers la droite. 

C'est parti !

Bon match à toutes et à tous ! 

Les hymnes résonnent

Les Italiens font entendre leur ferveur, les supporters belges se lèvent ! 

La tension monte

Les Diables en Rouge ce soir

La Belgique évoluera avec son maillot "domicile" ce jeudi soir au stade Roi Baudouin. 

Lavia sur le banc, tout comme Mangala

Le milieu de terrain de Chelsea débutera sur le banc, lui qui se réjouissait d'être de retour au sein de l'équipe nationale après de nombreuses blessures. 

Les justifications de Domenico Tedesco

Le sélectionneur précise que, selon lui, tous les joueurs sont à leur meilleure position. Concernant Arne Engels, Tedesco explique que le milieu de terrain est en très bonne forme au Celtic. 

Le onze italien

Voici les choix de Spalletti pour ce match face à nos Diables Rouges. 

La compo des Diables

Nous allons probablement évoluer avec 5 défenseurs ce jeudi soir. Tedesco fait confiance à Engels dans le milieu de terrain. 

Bonsoir à toutes et à tous !

Bienvenue dans ce live pour vivre, ensemble, ce choc entre l'Italie et la Belgique. 

Les compositions

Belgique: Casteels, Theate, Faes, Debast, Castagne, De Cuyper, Engels, Onana, Trossard, Openda, Lukaku

Italie: Donnarumma, Bastoni, Buongiorno, Di Lorenzo, Dimarco, Tonali, Rovella, Frattesi, Cambiaso, Barella, Retegui

L'avant match

L'Italie, leader de son groupe et qui tente de sortir d'un long marasme, n'a besoin que d'un point pour décrocher son billet pour les quarts de finale de la Ligue des nations face à une équipe de Belgique en pleine phase d'expérimentation, jeudi à Bruxelles.

Pour la Belgique, 3e avec quatre points (derrière la France, 9 pts), il n'y a plus le choix pour espérer terminer deuxième et donc figurer en quarts: il faudra gagner. Mais l'espoir d'une qualification est mince tant les Diables Rouges ne sont pas maîtres de leur sort alors qu'ils tardent en outre à rebâtir une équipe compétitive.

Invaincue depuis sa déroute de l'Euro 2024 en Allemagne où elle a cédé son titre continental dès les 8e de finale face à la Suisse (2-0), l'Italie, privée des deux dernières Coupes du monde, semble peu à peu se refaire une santé, symbolisée notamment par une victoire en France (3-1) lors de la première journée de compétition début septembre.

Un point suffira à Bruxelles. Mais son sélectionneur Luciano Spalletti a déjà prévenu qu'il ne ferait aucun calcul et qu'il ne se contenterait pas d'un nul contre les Belges ou la France trois jours plus tard à Milan. "Cela paraît facile, un point à prendre, mais cela ne sera pas notre façon de penser. Si on aborde ces matches en ne pensant qu'à ce point, on se trompera. Cela va être des matches difficiles, on ne peut pas être présomptueux", a-t-il expliqué en conférence de presse.

Un potentiel incertain

S'il sera privé d'une des révélations du début de saison, le milieu de terrain du Torino Samuele Ricci, blessé, Spalletti peut compter sur deux attaquants particulièrement en forme, Mateo Retegui (Atalanta) et Moise Kean (Fiorentina), en tête du classement des buteurs en Serie A avec respectivement onze et huit buts.

Les certitudes, son alter ego Domenico Tedesco n'en a lui aucune. Le sélectionneur italo-allemand de la Belgique est confronté à une monumentale opération de reconstruction après le retrait progressif de la plupart des cadres de la génération dite "dorée" (3e du Mondial-2018) et les blessures de certains autres. Depuis sa prise de fonction il y a dix-huit mois, Tedesco a convoqué pas moins de 53 joueurs différents, signe d'un réel tâtonnement.

Compte tenu de la blessure de Kevin De Bruyne et de la bouderie à rallonge de Thibaut Courtois, seul Romelu Lukaku fera figure jeudi de glorieux ancien, pour tenter de guider une nouvelle génération dont les observateurs tardent à évaluer le véritable potentiel. Si l'attaque demeure source d'espoir (avec les Doku, absent jeudi, Bakayoko, Duranville, Openda, Trossard, et autres De Ketelaere), si le milieu de terrain se reconstruit autour d'Onana, Tielemans et bientôt Lavia, la défense reste elle un chantier inquiétant.

L'époque des Kompany, Vertonghen, Alderweireld et Vermaelen semble bien loin lorsqu'on compare leur pedigree avec leurs successeurs actuels, les Faes, Debast et Theate. Et dans cette optique, le duel de jeudi au stade Roi Baudouin, sera un test intéressant.

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