Plus de 300 personnalités ont signé une carte blanche, publiée ce jeudi, qui appelle à l'adoption d'une "loi progressiste en matière d'IVG". Le texte exige que la proposition de loi sur l'avortement "qui attend depuis 2020 à la Chambre" soit votée avant les élections. Parmi les signataires de ce texte initié par la plateforme Abortion Right figurent la chanteuse Axelle Red, l'écrivaine Adeline Dieudonné ou encore l'humoriste Fanny Ruwet.
Politique
Le CHR de Namur vient de mettre en place un service pluridisciplinaire pour l'accueil des femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse. Elles sont 17.000 chaque année en Belgique. Un sujet encore tabou aujourd'hui. Les médecins capables de réaliser l'interruption de grossesse sont peu nombreux. Et ces femmes ont parfois du mal à trouver l'encadrement nécessaire pour affronter cette épreuve.
Santé
"Nous avons une dette morale" envers toutes les femmes qui ont "souffert dans leur chair" d'avortements illégaux, a déclaré lundi Gabriel Attal, saluant "l'étape fondamentale" du Congrès qui doit valider l'inscription de l'IVG dans la Constitution française.
France
Le Sénat français a approuvé le projet qui prévoit l'inscription de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Chez nous, ça fait plus de 30 ans qu'elle est dépénalisée, mais elle n'est pas inscrite dans la Constitution. Pourquoi ne l'a-t-on pas encore fait? Qu'est-ce qui bloque?
Politique
L'inscription de l'IVG dans la Constitution française a franchi mercredi son étape la plus délicate au Parlement avec le vote favorable du Sénat, évacuant les derniers doutes entourant l'adoption définitive de cette réforme historique lors d'un Congrès à Versailles convoqué dès lundi.
France
Ahmed Laaouej, chef de groupe PS à la Chambre était l'invité de Bel RTL matin de ce 18 avril. Il a notamment évoqué les discussions qui auront lieu ce mardi à la Chambre entre les partis et un comité d'experts académistes mandatés qui se sont penchés sur la question.
Société
"L'avortement est un crime: choisissez la vie". C'est le message auquel a été confrontée Amélie la semaine dernière dans le quartier Trône, à Bruxelles. Le message est inscrit sur le T-shirt d'un homme, en pleine distribution de prospectus anti-avortement.
Vos témoignages