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« La sécurité sera assurée pour le Mondial. Si je juge qu’elle ne l’est pas (dans certaines villes), nous déplacerons (des matchs) dans d’autres villes », a déclaré le président à la presse dans le Bureau Ovale, en dénonçant notamment les statistiques criminelles de Chicago, qui n’est pas une ville hôte du Mondial.
« Si nous pensons qu’une ville va être même rien qu’un peu dangereuse pour le Mondial ou les Jeux olympiques (qui seront organisés par Los Angeles en 2028, NDLR)… mais en particulier pour le Mondial parce que la compétition est déployée dans tellement de villes, nous ne laisserons pas les matchs se dérouler, nous les déplacerons un peu », a affirmé M. Trump.
Les grandes villes à majorité démocrate visées
Parmi les villes qui accueilleront des matchs, figurent des bastions démocrates comme Los Angeles (8 rencontres prévues), San Francisco (6 rencontres) et Seattle (6 rencontres).
L’administration Trump a déployé la garde nationale cette année pour maintenir l’ordre dans certaines villes administrées par des démocrates, dont Los Angeles, malgré les objections des responsables locaux.
Les États-Unis coorganisent la Coupe du monde de football 2026 (11 juin-19 juillet) avec le Mexique et le Canada. Le président Trump s’est désigné comme chef du groupe de travail de la Maison Blanche pour le Mondial, une compétition dirigée par la Fédération internationale de football (Fifa).



















