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Le cheval, un animal intrigant, qui passionne de nombreuses personnes. Un animal que l'on peut côtoyer dans de nombreuses disciplines équestres. Dans le lot, se trouve la voltige, la nouvelle passion de Louise Meskens, 8 ans seulement. La jeune fille est littéralement passionnée par cette discipline, qui lie à la fois le physique et l'artistique. Une discipline qu'elle a aussi découverte très récemment, en assistant à un spectacle équestre.
"Il y avait de la voltige et quand on a vu ça, on est tombés amoureux de ça", explique-t-elle, devant ses parents, fiers de ses progrès. Il faut dire qu'elle avance de manière fulgurante, elle qui est déjà devenue championne de Belgique de voltige équestre dans sa catégorie, 6 mois seulement après avoir commencé à travailler. Pour y briller, il faut savoir enchaîner les figures, libres ou imposées, dans un programme complet, comparable à ce que l'on voit en gymnastique artistique.
Le clé du succès, c'est une communion, entre la voltigeuse et son cheval. "J'aime avoir le contact avec l'animal, ce n'est pas que du sport, mais en même temps, c'est du sport. J'aime faire du sport avec l'animal", nous raconte Louise, aux anges. Il faut dire qu'elle peut compter sur le soutien indéfectible de ses parents, qui se donnent corps et âme pour que leur fille profite de sa passion.
Pourtant, la voltige, cela a un coût. "Le matériel, cela coûte un peu d'argent. Puis il a fallu trouver un cheval correct, parce qu'il ne faut pas n'importe quel cheval, il ne faut pas qu'elle tombe. C'est un vieux cheval, mais il faudra en reformer un autre. Ce sera encore de l'investissement", confirme Cyprien, son papa, qui n'a cependant aucun regret: sa fille épanouie le comble de bonheur.
La voltige, c'est aussi un bon moyen de former les cavaliers amateurs, qui découvrent les moyens de tenir parfaitement sur leur animal et de travailler leur condition physique. C'est un art, à part entière. Avis aux amateurs !
