Insultes, menaces, arrêt de travail… À l’école Sainte-Marie de Châtelineau, un incident avec un parent d’élève a bouleversé le quotidien. Résultat : la fancy-fair tant attendue par les enfants a été annulée. Une décision forte, qui soulève à la fois l’incompréhension et le soutien.
Le personnel de l'université de Liège manifeste contre le gouvernement fédéral. Des étudiants, des chercheurs et surtout des professeurs qui critiquent notamment le projet de réforme de leurs pensions.
Ce jeudi, les enseignants manifestent dans le Hainaut. Depuis le début de la semaine, le secteur est en grève (semaine d'action tournante). L'objectif ? Protester contre les mesures du nouveau gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Parmi ces mesures, il y a notamment la fin de la nomination des professeurs.
C'est l'une des revendications des syndicats: réduire le nombre d'élèves afin d'améliorer la qualité de l'enseignement et les conditions de travail. Face à cela, une question se pose : les professeurs sont-ils mal lotis en Fédération Wallonie-Bruxelles ? Qu'est-ce qui est finançable en pratique, et quels en seraient les effets ? Nous nous sommes rendus dans des classes pour mieux comprendre la situation.
C'est la fin des nominations pour les enseignants. Désormais plus aucun professeur ne deviendra statutaire en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les nouveaux engagés recevront un contrat à durée indéterminée. Mais d'où venait ce régime des nominations ? En quoi était-il important pour les enseignants ? Quels en étaient les avantages et les inconvénients ?