C'est désormais officiel : la réforme du chômage sera étalée dans le temps à partir de 2026. La limitation des allocations à deux ans est maintenue, mais elle sera mise en place progressivement. Qui sera concerné et à quel moment? Comment réagissent ceux qui critiquaient cette mesure?
La réforme du chômage entrera bien en vigueur début 2026 mais par étapes : 180.000 personnes perdront leurs allocations cette année-là. Le kern a aussi tranché sur d’autres volets clés de la loi programme, dont la fiscalité et la surpopulation carcérale.
Maxime Prévot, ministre des Affaires étrangères, était l’invité de Martin Buxant ce matin à 7h50 sur bel RTL. Il a notamment été question de la réforme du chômage que le gouvernement fédéral a dû mal à mettre en place.
Georges-Louis Bouchez, président du Mouvement Réformateur, est Face à Buxant ce dimanche. Il s'exprime sur la réforme du chômage, et en particulier, sur le cas d'une travailleuse de Cora, qui devra se tourner vers le CPAS après 38 ans de carrière.
Un mouvement de grève a lieu au sein des CPAS ce jeudi. Les employés ont décidé de débrayer. Ils veulent attirer l'attention du gouvernement sur leurs conditions de travail. Les manifestants alertent sur une situation critique qui risque de l'être encore plus.
Le gouvernement De Wever prévoit une réforme du chômage limitant les allocations à deux ans, avec un montant maximal relevé à 2.719 euros bruts mensuels les trois premiers mois. Passé un an, les allocations chuteront fortement, pénalisant surtout les chômeurs sans enfants.
Avec la réforme du chômage voulue par le gouvernement fédéral, les allocations de chômage seront limitées à deux ans maximum, ce qui devrait exclure environ 100.000 chômeurs, selon les chiffres de l'ONEM, rapportés par David Clarinval, ministre de l'Emploi. Le libéral s'est exprimé à 7h50 sur bel RTL, face à Martin Buxant.
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