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C’est une onde de choc qui a traversé tout le Royaume-Uni et les pays voisins. Le communiqué du Palais de Buckingham a pris tout le monde de court : le Roi est atteint d’une forme de cancer.
Face à cette annonce, les membres de la famille royale, dont le Prince Harry, se précipitent au chevet de Charles. Harry, qui s’est exilé aux États-Unis, "s’envolera pour le Royaume-Uni dans les prochains jours pour voir Sa Majesté", a précisé une source au Daily Mail.
Stéphane Bern, spécialiste des monarchies, n’a pas tardé à réagir à cette nouvelle. "Cette maladie va au moins servir à panser les plaies familiales toujours douloureuses", a-t-il expliqué à nos confrères du Parisien. "On sait que les cancers peuvent se développer à la faveur des chocs émotionnels. Et, avec Harry, l’épreuve a été très douloureuse. Charles est un homme très sensible, qui s’est abstenu de tout commentaire quand son fils l’a attaqué par voie de presse ou dans son livre".
"Entre eux, il y a autant d’amour que d’incompréhensions", a-t-il ajouté, confiant. "Ils vont se retrouver, c’est une bonne chose. Harry n’a d’ailleurs pas tellement le choix : qu’aurait-on pensé de lui s’il n’avait pas manifesté son émotion ? Il aurait perdu tout crédit".
