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Pourquoi le transfert d’Axel Witsel au Standard ne s’est-il pas conclu ? Marc Wilmots livre les détails de leur rencontre

Par RTL sports
Désormais directeur sportif du Standard, Marc Wilmots a voulu tenter un grand coup en rapatriant Axel Witsel. Un coup avorté, dont l’ancien sélectionneur des Diables nous raconte les coulisses.

Il ne s’en est jamais caché : Marc Wilmots, nouveau directeur sportif du Standard, a tenté de rapatrier l’enfant du pays, Axel Witsel. L’ancien joueur de Schalke s’est même rendu à Madrid, où vit le joueur, pour tenter de le convaincre de revenir en pays Rouche.

Seulement, le transfert n’a pas abouti, Witsel voulant encore jouer au plus haut niveau pour le moment. En interview pour RTL sports, Marc Wilmots est revenu sur les détails de cette histoire. Il le dit : ça ne s’est pas fait, mais il s’en serait voulu de ne pas tenter le coup.

« J’ai été le voir, j’ai parlé du projet, on voulait qu’il revienne à la maison et surtout lui offrir une belle sortie. Après, il y a des choix aussi familiaux que je peux comprendre. Quand tu as une vie, quand tu as tes enfants qui sont à l’école internationale, qu’il faut déplacer tout ça. Est-ce que tu as encore envie de le faire ? », se demande-t-il.

« On s’est vu, on a discuté, c’est un Rouche pur. Le problème il est où ? Il est nulle part. J’aurais eu un problème si je ne l’avais pas essayé. La machine continue. Je ne m’arrête pas à ça. On fonce », admet-il.

Par la suite, Marc Wilmots rentre plus en détail dans l’offre qu’il avait formulé. « D’ailleurs, je peux te dire une part du projet que je lui avais proposé. Je prépare déjà l’avenir en lui disant, ‘Axel, tu viendras à côté de moi, tu vois le rôle de directeur sportif, tu peux reprendre après’. Voilà ce que je voulais faire, c’était mon idée derrière. Un an ou deux ans sur le terrain et quand tu es fatigué, tu viens à côté de moi, tu apprends le métier », explique-t-il faisant comprendre que le poste de directeur sportif tendait les bras à l’ancien Diable.

Malgré le refus, la porte n’est évidemment pas fermé « Il viendra peut-être plus tard, à voir », conclut l’homme fort des Rouches.

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