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L'édition féminine du Tour de France démarre dimanche de Clermont-Ferrand pour rejoindre Pau le 30 juillet au terme d'un parcours de 960,4 km répartis sur huit étapes.
Elles seront 154 au départ, dont 7 Belges, dans 22 formations. Lotte Kopecky a déjà annoncé se mettre au service de sa cheffe de file chez SD Worx, la Néerlandaise Demi Vollering pour le général, et sa compatriote Lorena Wiebes pour les sprints.
Le Tour de France féminin, remporté l'an dernier par la Néerlandaise Annemiek van Vleuten, a existé sous différentes formes avant de disparaître fin de la décennie 2000 faute de financement, et de renaître en 2022.
Sanne Cant, Julie De Wilde, Julie Van de Velde et Marthe Truyen (Fenix-Deceuninck), Justine Ghekiere (Israel-Premier Tech Roland) et Fien Delbaere (AG Insurance-Soudal Quick Step) complètent le plateau belge.
Dimanche, 123 km de plaine autour de Clermont-Ferrand lanceront l'édition 2023 avant un tronçon plus accidenté de 151 km lundi pour rejoindre Mauriac. Mardi, entre Collonges-la-Rouge et Montignac-Lascaux, les sprinteuses devraient être à la fête au terme des 147,5 km.
La plus longue étape est programmée mercredi entre Cahors et Rodez sur 177,5 km. Des parcours de plaine relieront Onet-le-Château à Albi sur 126,5 km jeudi et Albi à Blagnac sur 122,5 km vendredi. Samedi, le Tourmalet s'invite sur le Tour avec une arrivée à Bagnères-de-Bigorre (89 km) dans la foulée du Col d'Aspin (cat.1) alors qu'un contre-la-montre individuel soldera l'épreuve à Pau sur 22,6km, c'est une nouveauté.
Vingt-six cols ou montées sont au programme. Hormis le Tourmalet (hors-catégorie) et le Col d'Aspin (cat.1), deux de deuxième catégorie, sept de troisième catégorie et quinze de 4e catégorie sont prévus par les organisateurs pour quatre étapes de plaine, deux étapes accidentées.
250.000 euros seront attribués pour les équipes et les coureuses dont 50.000 à la lauréate finale.