Le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, dont le pays se bat depuis trois ans contre l'invasion russe a appelé lundi le monde à "empêcher le mal de gagner", à l'occasion du 80e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau.
À l'approche des 80 ans de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, les rares survivants de l’holocauste poursuivent leur devoir de mémoire. Leurs récits bouleversants rappellent l'horreur des camps nazis et l'importance de transmettre cette histoire aux générations futures.
Quatre-vingts ans après la libération d'Auschwitz-Birkenau, symbole du Mal absolu, des survivantes des camps d'internement, de concentration et d'extermination ont accepté de témoigner. Elles ont survécu, vécu, fondé des familles et comptent transmettre, jusqu’au bout, contre l'oubli. Au crépuscule de leur existence, elles ont répondu à ces questions vertigineuses : que fallait-il dire de leur déportation, qu’ont-elles pu transmettre, que deviendra cette mémoire quand elles auront disparu, quelles sont leurs craintes et leurs espoirs pour ceux qui vivront après eux ?
Une centaine d'étudiants belges ont visité aujourd’hui le camp de concentration d’Auschwitz, en Pologne. Une initiative organisée à dix jours de la commémoration de la libération des camps. Le but : transformer ces adolescents en témoins de l’Histoire.