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Une grève émotionnelle a été déclenchée ce mercredi matin dans plusieurs dépôts TEC après l'agression d'un chauffeur. Le hic: les images ont ensuite contredit la version de ce dernier qui aurait en réalité été l'agresseur. Dès lors, le mouvement spontané n'était pas justifié. Les grévistes peuvent-ils être sanctionnés?
La réponse n'est pas très claire pour l'instant. Cela dépendra des résultats de l'enquête interne qui a été ouverte au TEC. L'ouverture de cette enquête fait suite au communiqué du parquet de Liège qui a contredit la version du chauffeur.
Le TEC l'affirme: c'est une situation exceptionnelle, inédite même. Dans ces circonstances, impossible de dire quelles sont les sanctions dans ce type de cas.
L'opérateur ne peut même pas encore assurer que la grève de ce mercredi était injustifiée. Encore une fois, nous sommes renvoyés à l'instruction du dossier.
Retrouvez "Vous êtes dans le journal" du lundi au vendredi de 18h à 19h sur bel RTL avec Peggy Simono et Thibaut Roland.
