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Plus d'un millier de personnes présentes à Bruxelles pour manifester contre l'EVRAS

Une manifestation contre l’apparition obligatoire de l’EVRAS à l’école a lieu à Bruxelles. Les manifestants demandent qu’on corrige le guide EVRAS, voir même qu’on retire ces animations des écoles. 

Ce dimanche, une manifestation anti-EVRAS était organisée à Bruxelles. Ce projet d’EVRAS, éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle, dans les écoles a fait parler de lui ces derniers jours. En signe de protestation, des écoles ont été vandalisées et parfois même incendiées, comme à Charleroi ou encore à Liège. 

Vers 13 heures, notre journaliste Kaïma Boudiaf était sur la place de l’Albertine. Elle a estimé qu’une centaine de manifestants s’y trouvaient afin de protester contre l’EVRAS. Selon l’agence Belga, ce chiffre s’élève désormais à 1 500. 

Sur place, l’ambiance est tendue. Les parents sont très remontés contre la proposition de ces animations. Certains affichent des panneaux : « EVRAS = pédophilie » ou encore « Ne touchez pas à l’innocence de nos enfants ». 

Pour les parents qui manifestent, ce guide EVRAS « doit être corrigé ». Interrogés, ils expliquent que la partie sur la vie relationnelle et l’affective « peut passer ». Là où ça pose problème, c’est sur la vie sexuelle. « Tout ce qui a trait à la sexualité, en dessous de 12 ans, ce n'est pas acceptable ».

La police est présente sur les lieux afin d’éviter tout débordement. 

 

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Commentaires

12 commentaires

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  • Ce qui est étrange c'est que les modérateurs ont laissé passer votre message nauséabond

  • Bien vu. si l’éducation que la Belgique donne aux enfants ne leur plaît pas ils peuvent retourner d’où ils viennent. C’est à eux à respecter notre enseignement, notre religion et notre législation, et non l’inverse.

  • Bien vu monsieur , je me suis fait la même réflexion, bien à vous

  • comme d'habitude mais nous ne pouvons pas le dire car sinon ont vous traite de raciste et votre commentaire est refusé!

    Bruno De Ryck
  • En effet. Obsédés par la chair et le sexe au point d’effacer le corps des femmes…

    Simon Cussonnet
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