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« Tout pour la lumière » raconte l’histoire de Victoria Vargas, interprétée par Joy Esther, une ancienne star de la pop des années 2000 revenue dans sa ville natale, La Ciotat, après vingt ans d’absence.
Sa mère Florence, fondatrice du célèbre Studio Lumière, est plongée dans le coma à la suite d’un mystérieux accident. Victoria, désormais pédopsychologue, revient sur les lieux de ses débuts pour comprendre ce qui s’est passé – et affronter son passé.
Tous les codes de la saga d’été sont au rendez-vous : secrets de famille, révélations, histoires d’amour, trahisons et coups de foudre. Le tout dans un cadre solaire, rythmé par la musique et la danse.
30 tubes originaux et des reprises cultes
La musique est au cœur de la série. Dès la première séquence, le public est embarqué dans un stage d’été artistique, où les personnages chantent en solo, duo ou trio.
Près de 30 compositions originales ont été enregistrées à Marseille, en plus d’une dizaine de covers de tubes intemporels comme « Écris l’histoire », « J’irai où tu iras », ou encore « White Flag ».
« Nous avons produit près de 30 compositions originales qui sont des tubes ! », s’enthousiasme Santi, directeur de la musique du groupe TF1. Il précise : « Nous allons en prendre plein les oreilles ! »
Une série ancrée dans l’air du temps
La série suit 14 talents du Studio Lumière, âgés de 18 à 35 ans, aux profils très variés. Certains viennent de « The Voice », d’autres de comédies musicales, tous incarnent une jeunesse connectée, ambitieuse, parfois en lutte contre elle-même.
Une arche est consacrée à une influenceuse, une autre à un personnage prêt à se mettre en danger pour percer. L’objectif de la série est de rester « en phase avec notre société, notre jeunesse, est l’un des défis de cette série quotidienne événementielle ».
« Tout pour la lumière » est également une série qui « s’inscrit dans la lignée de grandes séries telles Glee, Fame ou encore Un, dos, tres ». Des séries « qui ont, chacune à leur époque, marqué leur public ».
Un projet porté par l’énergie collective
Le tournage s’est déroulé entre Marseille et La Ciotat, sur des décors naturels superbes comme le Parc du Mugel ou le port ciotaden. Au cœur du récit : le Studio Lumière, installé dans l’ancien marché couvert de La Ciotat, devenu un véritable personnage de la série.
Derrière la caméra, une équipe de 140 techniciens par semaine, 26 auteurs, et des coachs en chant, danse et expression scénique encadrent le projet. L’ambiance, elle, semble électrique. « Il faut parfois même les rappeler à l’ordre durant la mise en scène tant ils sont surexcités ! » raconte Céline François, productrice.
Retrouvez la série « Tout pour la lumière » en streaming sur RTL play et sur RTL tvi ce dimanche 15 juin à 19h50 et à partir du lundi 16 juin, tous les jours de la semaine à 17h30.


















