C'est l'une des revendications des syndicats: réduire le nombre d'élèves afin d'améliorer la qualité de l'enseignement et les conditions de travail. Face à cela, une question se pose : les professeurs sont-ils mal lotis en Fédération Wallonie-Bruxelles ? Qu'est-ce qui est finançable en pratique, et quels en seraient les effets ? Nous nous sommes rendus dans des classes pour mieux comprendre la situation.
Les enseignants de Wallonie et de Bruxelles se mobilisent pour deux jours de grève, lundi 27 et mardi 28 janvier, afin de dénoncer les réformes du gouvernement MR-Engagés. Une grande manifestation est prévue lundi à Bruxelles, suivie d’actions locales mardi.
Si toutes les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles interdiront le smartphone dans leur enceinte dès la fin août 2025, l'Athénée Royal de l'Air Pur à Seraing a déjà anticipé cette mesure.
Les enseignants en colère protestent ce mercredi lors d’un "mercredi noir" marqué par des arrêts de travail et des actions en Wallonie et Bruxelles. Les syndicats dénoncent la fin des nominations au profit de CDI, jugés coûteux et idéologiquement motivés. Une grève massive est prévue le 27 janvier.
Dès ce mercredi, certains enseignants mèneront des actions symboliques dans leurs écoles avant une grande mobilisation les 27 et 28 janvier prochain. Leur objectif : contester la réforme menée par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Des critiques qui n'empêcheront pas pourtant sa mise en oeuvre, préviens Valérie Glatigny, ministre de l'Éducation et de l'enseignement de Promotion Sociale.
La Fédération Wallonie-Bruxelles est endettée et l'enseignement représente 65% du budget. La Ministre de l'Éducation pourrait-elle voir dans les salaires des enseignants une possibilité pour réduire cette dette ? Elle nous répond.