Une explosion survenue dans un entrepôt d'armes près d'une localité industrielle dans la banlieue de Damas a fait 11 morts, a rapporté une ONG, qui attribue cette explosion à une "probable" frappe israélienne, accusation démentie à l'AFP par une source militaire israélienne.
Une série de questions se posent à propos du reportage sur l'homme qui retrouve la liberté en Syrie après des années de prison : il n'était en réalité pas un civil comme il s'est présenté dans le reportage, mais un ancien officier corrompu de l'armée de Bachar al-Assad.
Une usine destinée à la fabrication de Captagon, une drogue de synthèse, a été découverte en Syrie, à Douma, une ville proche de la capitale Damas, selon la chaîne Sky News Arabia. L'usine était sous le contrôle d'une unité de l'armée commandée par Mahir al-Assad, le frère du dictateur déchu Bachar el-Assad.
Huit Belges feraient partie du groupe islamiste syrien Hayat Tahrir al-Cham (HTS), qui a pris le pouvoir à Damas (Syrie) le week-end dernier, a confirmé le cabinet de la ministre de l'Intérieur, Annelies Verlinden. Outre ces membres, il y aurait une centaine de ressortissants belges dans la région.
En Syrie, deux jours après la chute de Damas, le monde découvre les horreurs du régime de Bachard al-Assad. Après la prison de Saidnaya, c'est la réalité d'un hôpital près de Damas qui éclate au grand jour. Une quarantaine de corps présentant des traces de torture ont été retrouvés entassés dans la morgue.
En à peine plus de dix jours, et à la surprise générale, les rebelles emmenés par les islamistes radicaux de Hayat Tahrir al-Sham (HTS) se sont emparés des principales villes de Syrie et ont fait chuter le président Bachar al-Assad.
Des groupes rebelles menés par des islamistes radicaux ont pris le contrôle de la Syrie ce dimanche après une offensive fulgurante. Le pouvoir de Bachar al-Assad s’est donc effondré, après une dictature de 24 ans. Cette nouvelle ère soulève un vent d'espoir au sein de la population, mais également des incertitudes.