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"Caroline déteste Charlène": les deux Princesses de Monaco sont-elles irréconciliables ?

Après les révélations choc des dépenses de la Princesse monégasque, c’est au tour de ses relations intra-familiales d'être passées au crible.

Claude Palmero a travaillé pour la famille royale monégasque durant plus de 20 ans avant d’être licencié en 2023 pour corruption et fraude. Ce dernier nie fermement toute accusation. "Je n’ai jamais pris un centime. C’est pertinemment faux. Je ne suis ni un corrompu ni un voleur", explique-t-il ainsi à nos confrères du Monde.

C’est également à nos confrères du Monde que ce dernier à dévoilé toute une série de documents comprenant les détails des comptes et des dépenses de la famille royale. Dans cette enquête découpée en quatre parties, l’ex-bras droit du Prince Albert s’étend également sur les relations extrêmement tendues entre Caroline et Charlène.

Le constat serait clair : les deux princesses ne se supporteraient pas. L’ancien comptable raconte que "le chaos règne" au sein du Palais. "Caroline déteste Charlène", affirme-t-il. L’animosité serait telle que "leurs éclats de voix résonnent parfois sous les dorures".

Pourquoi se détestent-elles autant ?

Selon Claude Palmero, tout serait une question de pouvoir. Après le décès tragique de Grace Kelly en 1982, Caroline aurait été choisie comme héritière. Son père, Rainier, l'aurait considérée comme étant plus apte que son frère, Albert, à occuper cette fonction. Il estimait que le Prince n’était "pas à la hauteur", qu’il était "la brebis galeuse du clan"… Il sera finalement couronné en avril 2005.

Albert épousera ensuite Charlène en 2011, plaçant Caroline au "second rang". Cette dernière vivrait si mal la situation qu’elle fulminerait "contre l’influence excessive de la Princesse Charlène".

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Commentaires

1 commentaire

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  • On va les plaindre ! Ils le font rire: d’un côté ils défendent la nature et…. Prennent l’helico pour se rendre de Monaco à l’aeroport de Nice pour prendre un jet pour aller voir un défilé de mode à Paris… Et on voudrait imposer aux sans dents les voitures partagées…

    Simon Cussonnet
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