Accueil Sport Cyclisme

Tim Merlier: "J'espère que la chance sera avec moi à Paris-Roubaix"

Tim Merlier (Soudal Quick-Step) a remporté mercredi le Grand Prix de l'Escaut, signant du même coup son 7e succès de la saison. Le sprinteur a été victime d'une crevaison à une quinziane de kilomètres du terme, mais il a pu réintégrer le peloton dans les temps grâce au soutien de ses coéquipiers.

"La course a été très rapide et il fallait absolument éviter les problèmes", a expliqué Merlier à l'arrivée. "C'était très tendu dans la première partie, avec le vent, les petites routes où le positionnement était difficile à trouver, les bordures. Après cela, il fallait bien négocier le circuit local."

Le collectif du Wolfpack a payé pour Tim Merlier, malgré les dysfonctionnements mécaniques. "Je n'ai pas paniqué après ma crevaison, mes équipiers m'ont remonté et replacé dans le peloton en vue du final. Dans le sprint, dès que j'ai senti que le bon moment était arrivé, j'ai lancé ma manœuvre et je me suis imposé."

"J'ai signé à Schoten mon 7e succès de la saison et c'est une belle victoire", s'est félicité un Merlier qui avait brillé en Arabie saoudite à l'AlUla Tour (deux victoires) et aux Émirats arabes unis à l'occasion de l'UAE Tour (trois victoires), avant son succès sur le Nokere Koerse . "Ce qui est surtout important c'est de gagner et de gagner beaucoup. Je sais que ma condition est bonne. J'ai d'ailleurs livré un bon Tour des Flandres (65e, ndlr). J'ai bien récupéré et j'espère maintenant que la chance sera avec moi dimanche sur les routes de Paris-Roubaix."

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Du changement pour les élèves en première secondaire dès 2026 : une matière enseignée « depuis des lustres » va-t-elle disparaître ?

Du changement est prévu dès la rentrée prochaine pour les élèves qui entrent en première secondaire. Il concerne le fameux tronc commun. Des horaires, le contenu des cours ou encore le CEB sont concernés par des modifications. Comment réagit le secteur à ces différentes annonces ? Certains saluent l’arrivée des cours axés sur le numérique, d’autres s’inquiètent pour l’avenir de leur matière.