La Chambre a adopté jeudi en séance plénière la proposition de loi qui met fin à la loi de sortie du nucléaire de 2003, mais pour les écologistes, ce vote n'est qu'"une opération de communication qui ne changera strictement rien à la vie des Belges".
Après d'intenses négociations, les groupes politiques de la majorité à la Chambre ont abouti mardi soir à un accord sur une proposition de résolution relative au conflit israélo-palestinien et à la situation dans la bande de Gaza.
La Chambre a observé jeudi une minute de silence en hommage au pape François décédé lundi. Le président de la Chambre, Peter De Roover, et le Premier ministre, Bart De Wever, ont prononcé l'éloge funèbre du chef de l'Église catholique. L'initiative n'a pas fait l'unanimité. Une députée de l'Open Vld, Irina De Knop, a exprimé sa désapprobation.
Après le décès du pape François et l'annonce de la date de ses funérailles, le samedi 26 avril, de nombreux chefs d'état ont affirmé se rendre aux obsèques. Notre Premier ministre sera également à Rome.
Alors que la France évoque une possible reconnaissance de l’État palestinien en juin, la Belgique s’est déclarée favorable à une démarche de reconnaissance mutuelle entre Israël et la Palestine. Une position réaffirmée jeudi à la Chambre par le Premier ministre Bart De Wever.
La Belgique va tourner au ralenti ce lundi suite à la grève nationale qui va impacter de nombreux secteurs. Suivez en direct cette journée de mobilisation.
À l’appel de la FGTB et de la CSC, une grève nationale paralysera une grande partie du pays ce lundi pour dénoncer les mesures du gouvernement De Wever.
Les chefs d'État et de gouvernement européens, réunis en sommet à Bruxelles, ont convenu jeudi de maintenir les actifs russes gelés jusqu'à la fin de l'agression de la Russie contre l'Ukraine.
Que pensez-vous de Bart De Wever? Est-il, selon vous, un bon Premier ministre? Vous représente-t-il? Ce sont les questions posées dans le Grand Baromètre RTL info/Ipsos/Le Soir/VTM et HLN. Les réponses entre le nord et le sud du pays sont particulièrement différentes.
Lors d’un sommet virtuel rassemblant une trentaine de dirigeants alliés de l’Ukraine, le Premier ministre belge Bart De Wever a vivement critiqué les exigences de Vladimir Poutine pour un accord de paix. Il les a qualifiées de "totalement inacceptables", estimant qu’elles reviendraient à une reddition pure et simple de l’Ukraine.