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Caroline a tenu à être présente dès ce matin, premier jour des inscriptions, avec en ligne de mire l’école de la Providence à Gosselies. Un dépôt de formulaire qui confirme son seul choix. "J’ai pu voir sur le site que l’école était complète les deux années précédentes. Mais bon, on est toujours confiant, on espère", confie la maman.
Pour cette première phase d’inscription, une période déterminée : entre le 6 février et le 10 mars, le dossier doit être déposé, mais il ne faut pas se presser.
"Pour la première période d’inscriptions, c’est uniquement le classement de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui prime. Le premier arrivé n’est pas le premier servi, ça ce sera pour la deuxième période d’inscription", explique Sarah Vano, éducatrice.
Quels sont les critères?
Dans cette école, concrètement 264 places seront disponibles en première année. Des priorités existent : les enfants d’enseignants, ceux dont les frères et sœurs sont déjà inscrits.
Pour les autres, il y a des critères qui servent à créer un indice de priorité : la préférence, la proximité domicile-école primaire, la proximité domicile-école secondaire, la distance entre l’école primaire et l’école secondaire, l’immersion, le nombre d’écoles dans une zone, et les critères de mixité sociale : le partenariat pédagogique et la classe d’encadrement.
"A partir du moment où l’école est réputé complète, il va y avoir un classement qui va se faire et il va se faire en tenant compte de huit indices particuliers et c’est la multiplication de ces indices qui va donner une cote, une position dans le classement et plus le coefficient est élevé, plus la place dans le classement est intéressante pour l’élève et ses parents", précise Denis Dehon, le directeur de l’Institut de la Providence.
50.000 élèves en Fédération Wallonie-Bruxelles doivent trouver leur place en première secondaire, d’ici le premier septembre. En avril, une deuxième phase sera lancée pour compléter les écoles toujours disponibles, parfois des deuxièmes ou des troisièmes choix.
