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« The Last Call », c’est bien plus qu’un simple titre. Pour Renaud Godart, chanteur du groupe Ykons, il s’agit d’un moment très personnel, celui qui précède l’entrée sur scène : « Juste avant de monter, j’ai dû faire une véritable introspection. Le regard des gens, le fait d’être jugé constamment… », confie-t-il.
Ce sentiment universel devient le cœur de la chanson. Ykons y transforme l’angoisse en force. « Cette musique parle de ça, et dit : faisons ce pas vers le danger. Mais qui peut amener tellement de belles choses vers la lumière. »
Une britpop assumée
Musicalement, « The Last Call » revendique une influence claire : « On voulait faire de la britpop avec cette énergie débordante qui nous caractérise. Imagine Dragons fait fatalement partie de nos influences fortes », explique Renaud Godart. Résultat : un morceau puissant, galvanisant, qui incarne ce moment de bascule entre le doute et l’élan.
Le titre s’adresse à tous ceux qui, un jour ou l’autre, ont dû lutter contre leurs freins intérieurs. « On a parfois des freins par rapport au regard de l’autre », admet le chanteur. Avec « The Last Call », Ykons livre une chanson positive, presque thérapeutique : « Au moins, on n’a pas besoin de mettre 80 € chez un thérapeute. Mais ça aide. »
Le public peut s’attendre à des performances captivantes, notamment cet été lors de festivals comme celui de Tournai ou des Fêtes de Wallonie.


















