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Les Francofolies reviennent à Esch-sur-Alzette : à quoi faut-il s’attendre cette année ?

Par Par RTL info
Les 6, 7 et 8 juin, Esch-sur-Alzette accueillera les Francofolies pour une cinquième édition prometteuse mêlant musique, écologie et moments inoubliables.

Pour sa cinquième édition, le festival promet une expérience unique, mêlant têtes d’affiche impressionnantes, initiatives écologiques et immersion artistique.

« Timmy Trumpet, Soprano, Julien Doré, Michel Polnareff et bien d’autres sont à l’affiche cette année », annonce fièrement Loïc Clairet, directeur des Francofolies d’Esch-sur-Alzette sur le plateau du RTL info 13h. La programmation fait la part belle à la diversité et à la qualité, fidèle à l’esprit des Francofolies. Pour les plus curieux, voici l’ensemble de la programmation :

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Au-delà des noms prestigieux, c’est l’identité même des Francofolies d’Esch qui fait leur force. « Notre spécificité, c’est d’être dans un parc et puis de faire vivre une vraie expérience aux spectateurs », explique le directeur. Cette année, le festival innove en intégrant des bains finlandais et des saunas sur le site : « Une expérience participative et musicale », promet-il.

« Profiter de nos espaces verts »

Le cadre naturel du festival n’est pas qu’un décor : il est au cœur de la démarche. « On est dans un parc naturel et donc il faut le respecter et le préserver », rappelle Loïc Clairet. Les Francofolies d’Esch s’inscrivent ainsi dans une logique durable, à l’image d’autres festivals comme Les Solidarités en Belgique. « On est vraiment dans une nouvelle dynamique de festival. On ne s’installe plus dans des champs, on revient dans des parcs, dans des villes. On veut profiter de nos beaux espaces verts », insiste-t-il.

Une ouverture à la scène locale

Même si les Francofolies célèbrent la musique francophone, l’événement n’oublie pas de faire place aux talents locaux. Et cette année, il y aura même des artistes qui chanteront en luxembourgeois. « Ce n’est pas une obligation mais c’est aussi un plaisir de faire découvrir son terreau et son territoire ». Une manière d’ancrer encore davantage le festival dans son contexte culturel unique.

À quelques jours de l’ouverture des portes, il reste encore quelques places. « Il faut se dépêcher. »

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