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La direction de l'usine de nickel KNS, l'une des trois implantées en Nouvelle-Calédonie, a annoncé vendredi le licenciement de ses 1.200 salariés à la fin du mois d'août, faute d'une "offre finalisée" de repreneur.
En grande difficulté financière avec une dette de 13,5 milliards d'euros, KNS était à la recherche d'un repreneur depuis le départ en février du groupe anglo-suisse Glencore, son actionnaire principal.


















