Accueil Actu Régions Hainaut

Le Carnaval de Binche 2024 s'est clôturé dans la nuit de mardi sur un bilan très positif

Les festivités du Carnaval de Binche, qui se sont déroulées les 11, 12 et 13 février, se sont terminées très tard dans la nuit de mardi à mercredi. Les instances binchoises ont dressé, mercredi matin, un bilan positif de l'événement folklorique qui fêtait en 2024 les 20 ans de sa reconnaissance au patrimoine de l'Unesco. La météo a globalement été favorable à l'événement, ce qui a notamment permis aux Gilles de sortir en cortège mardi après-midi avec leurs traditionnels chapeaux de plumes d'autruche.

Un nombre record de plus de 1.300 acteurs ont participé à l'événement et plusieurs milliers de personnes ont convergé vers Binche de dimanche à mardi soir pour vivre le grand rondeau final et le traditionnel feu d'artifice sur la Grand-Place de Binche.

Une hausse de 25% de touristes a été constatée dimanche par rapport à 2023. Au niveau de la sécurité, la police et les pompiers ont également rendu un bilan satisfaisant, avec des chiffres d'interventions dans la moyenne des autres éditions. Aucun incident grave n'a été constaté.

La cellule presse du Carnaval a accueilli plus de 200 photographes et journalistes de télévision, de radio et de la presse écrite. La Ville de Binche a notamment mentionné la présence de la presse française, notamment les équipes de TF1 et de FR3, ainsi que celle de journalistes de la presse espagnole, allemande, coréenne et japonaise.

Binche a ouvert la saison des carnavals dans la région du Centre: le prochain rendez-vous des gilles, des tambours et des musiques est fixé à Haine-Saint-Pierre les 18, 19 et 20 février.

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.