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Selon une enquête du Times, « Bloom est désormais accusé d’avoir dirigé un réseau de paris clandestins, brassant 600 millions de livres, opérant dans le football », un système qui aurait utilisé des comptes offshore pour masquer l’identité des parieurs.
Figure bien connue dans l’univers du jeu, Tony Bloom avait obtenu en 2014 une dérogation exceptionnelle de la Football Association lui permettant de conserver ses rôles de propriétaire de club et de responsable de Starlizard, sa société de conseil en paris.
Cette tolérance n’aurait toutefois pas empêché la poursuite d’activités beaucoup plus opaques, selon les accusations relayées par le quotidien. La plainte évoque en effet l’implication d’anciens collaborateurs politiques, dont George Cottrell, ex-chef de cabinet de Nigel Farage, qui auraient servi d’intermédiaires pour maintenir Bloom à distance de ces paris clandestins.
















