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Non, Marc Wilmots n'a pas (encore) quitté son poste de sélectionneur en Iran...

Marc Wilmots a démenti, sur son compte twitter, que ses avocats avaient conclu un accord avec le président de la fédération iranienne de football Mehdi Tadsch, mercredi en Turquie, concernant une éventuelle rupture de son contrat d'entraîneur national. Celui-ci liait depuis fin mai, voire lie toujours, les deux parties jusqu'après la Coupe du monde 2022.

"Contrairement aux informations apparemment publiées dans la presse iranienne", a en effet tweeté l'ex-coach des Diables Rouges et de la Côte d'Ivoire, "aucun accord à l'amiable n'a été conclu entre la fédération iranienne de football et moi et mon staff. Nous sommes en négociation afin de trouver une solution à l'amiable, suite au non-respect des obligations contractuelles par la fédération iranienne de football, et suite à ma résiliation justifiée du contrat". "Le dossier étant dans les mains de mes avocats, je ne ferai pas d'autre commentaire", a écrit Wilmots.

Notre compatriote invoquait des retards de paiement. La fédération iranienne avait répliqué que son salaire était payé, mais que le paiement n'était pas arrivé sur le compte bancaire en raison des sanctions bancaires internationales contre l'Iran.

Lors des quatre premiers matches du deuxième tour des qualifications asiatiques, les Iraniens ont subi deux défaites, au Bahreïn (1-0) et en Irak (2-1).

Le pays n'occupe que la troisième place dans le groupe C avec 6 points sur 12, cinq de moins que le leader, l'Irak, et 3 de moins que Bahreïn. Les huit vainqueurs de groupes et les quatre meilleurs deuxièmes se qualifieront pour le troisième tour.

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