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Il continue quoi qu’il arrive : Hamilton a roulé… sans freins au GP de Singapour et ça a beaucoup énervé Alonso

Par RTL info
Lewis Hamilton a roulé sans freins et coupé plusieurs virages au GP de Singapour, le tout pendant plusieurs tours. La scène n’a pas échappé à son éternel rival, Fernando Alonso, qui n’a pas caché son mécontentement à la radio.

Le Grand Prix de Singapour a ravivé l’une des plus vieilles rivalités de la Formule 1 moderne. Dix-huit ans après leurs tensions explosives chez McLaren en 2007, Lewis Hamilton et Fernando Alonso se sont de nouveau chamaillés. En cause cette fois : des questions techniques.

Hamilton poursuit malgré des freins défaillants

Dans les derniers tours de la course, la Ferrari de Lewis Hamilton souffrait visiblement d’un problème de freins. Malgré cela, le Britannique a continué sa course, enchaînant sorties de piste et virages coupés, pour tenter de conserver sa 7e place face au retour de Fernando Alonso.

Parti loin derrière, le pilote espagnol de l’écurie Aston Martin est parvenu à revenir à seulement quatre dixièmes de son ancien coéquipier, alors qu’il comptait près de 50 secondes de retard deux tours avant la fin.

À la radio, Alonso a laissé éclater sa frustration : « Je n’arrive pas à y croire. Vraiment, je n’arrive pas à y croire. Est-il prudent de conduire sans freins ? » Une remarque dirigée autant à son équipe qu’aux commissaires de la FIA, clairement visés.

Sanction immédiate pour Hamilton

Les officiels n’ont pas tardé à réagir. Après analyse des images et des données, la FIA a estimé que Hamilton avait mis en danger les autres pilotes en poursuivant sa course sans un système de freinage pleinement fonctionnel. Résultat : une pénalité de cinq secondes, synonyme de rétrogradation à la 14e place.

Fidèle à son style, Lewis Hamilton n’a pas tardé à répondre, cette fois sur un ton plus léger. Sur ses réseaux sociaux, il a publié une vidéo détournée, utilisant la célèbre réplique « Je n’y crois pas », extraite de la série britannique One Foot in the Grave, en référence aux propos d’Alonso à la radio. Il y ajoute la légende : « 18 ans de… », une manière ironique de souligner la longévité de leur rivalité.

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