Sans garantie de succès, les négociations climatiques houleuses de l'ONU à Bakou se poursuivent intensément samedi sur un accord à 300 milliards de dollars par an pour les pays les plus pauvres, qui tentent d'arracher d'ultimes concessions.
Les pays les moins développés sont insatisfaits des propositions issues à ce jour de la COP29. Aucun accord n'a été trouvé pour le moment. François Gemenne est professeur à HEC Paris et chercheur à l'Université de Liège, spécialiste du climat et des migrations, a répondu aux questions de RTL info.
La COP29, dont les négociations patinent sur l'adoption d'un nouvel objectif de financement climatique à destination des pays en développement, a connu une nouvelle phase de dramatisation samedi en fin d'après-midi à Bakou.
Les négociations de la COP29, réunies à Bakou, entrent dans une phase décisive. Alors que les pays en développement réclament des financements massifs pour faire face au changement climatique, les propositions des nations riches peinent à répondre aux attentes. Un accord pourrait toutefois se dessiner autour d’une augmentation historique des engagements financiers.
La coalition climat a mené une action ce vendredi matin pour alerter sur les conséquences concrètes du dérèglement climatique. La coalition climat a dressé la liste des pays frappés ces dernières semaines par des phénomènes météo extrêmes. Et pour le prouver, ils ont rassemblé des déchets du monde entier liés à ces catastrophes climatiques.
La Belgique est pointée du doigt pour son manque d'efforts en matière de lutte contre le changement climatique. Un nouveau classement la place parmi les mauvais élèves d'Europe. Objectifs trop timides, progrès trop lents : le constat est sans appel.
Nous allons devoir nous adapter aux changements climatiques. C'est même devenu une évidence en Europe. C'est ce que révèle une enquête de la Banque européenne d'investissement, que nous avons analysé.
L'émissaire américain du président démocrate sortant Joe Biden à la COP29 à Bakou a cherché lundi à assurer au monde que les États-Unis n'abandonneraient pas la lutte contre le changement climatique, malgré l'arrivée prochaine du climatosceptique Donald Trump.
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique, ou COP29, s'ouvre ce lundi à Bakou (Azerbaïdjan). La Belgique sera représentée par une délégation de 140 personnes. Quel rôle peut jouer notre pays? Les Belges vont-ils devoir contribuer à l'effort? Nous avons posé la question à un expert du GIEC.
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique, ou COP29, s'ouvre ce lundi à Bakou (Azerbaïdjan). Plusieurs dizaines de milliers de participants (négociateurs, responsables politiques, experts, scientifiques, membres d'ONG, lobbyistes, journalistes...) y sont attendus jusqu'au 22 novembre, dans un monde en ébullition et sur fond de "come-back" du climato-sceptique Donald Trump à la fonction suprême des Etats-Unis.
La COP29 s'ouvre ce lundi à Bakou en Azerbaïdjan. L'enjeu de cette conférence est de déterminer comment les pays industrialisés peuvent soutenir les pays du sud, plus vulnérables, dans leur transition écologique. Mais concrètement, que peut-on attendre d'une énième conférence mondiale sur le climat ?
Malgré l’urgence climatique, la manifestation pour le climat organisée à Bruxelles n’a rassemblé que 740 personnes, loin des foules de 2019. Comment expliquer ce découragement de certains manifestants ?
« premier‹ récents1234anciens ›dernier »