En France, moins de 100 jours après sa nomination, le gouvernement de François Bayrou est dans la tempête. Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau menace de démissionner. Sa requête : que le gouvernement le suive sur ses projets de lutte contre le narcotrafic et les relations entre la France et l'Algérie. Une manière de forcer la main du Premier ministre… qui n'a pas vraiment apprécié.
L’actuel Premier ministre français est accusé par des membres de la gauche d’avoir menti sur sa connaissance des violences et agressions sexuelles dans un établissement scolaire des Pyrénées-Atlantiques.
Le Premier ministre François Bayrou est au cœur d’une vive polémique après des accusations de mensonge concernant des agressions sexuelles présumées dans un établissement catholique du Béarn. Face aux critiques, il assure n’avoir "jamais été informé" et annonce une plainte en diffamation.
Lors des obsèques de Catherine Laborde, qui se sont tenues à Paris, l’émotion était palpable. Parmi les nombreux hommages, celui de ses filles, Pia et Gabrièle, a particulièrement touché l’assemblée. Un dernier adieu rempli d’amour et de gratitude pour une mère qui leur a transmis le goût de la liberté et de l’amour inconditionnel.
La nomination du gouvernement belge n'a pas fait la Une de la presse française. Trop occupée avec le fameux 49.3 de François Bayrou. Les rares médias qui s'y sont intéressés, dont l'Agence France Presse, ont souligné qu'un nationaliste flamand était devenu Premier ministre. Mais Bart De Wever a prêté serment et fidélité au Roi, comme tous ses prédécesseurs. Désormais installé au 16 rue de la Loi, Bart De Wever va-t-il se belgiciser et plus particulièrement sur la scène internationale ?
Les funérailles de l'ancienne présentatrice météo Catherine Laborde se tiendront le jeudi 6 février à Paris, en l'église Saint-Roch. La famille a précisé ne souhaiter "ni fleurs ni couronnes", mais encourage les dons à une association dédiée à la maladie à corps de Lewy, dont elle souffrait.
Revenons ce vendredi sur les propos de François Bayrou sur l'immigration qui ont fait l'actualité politique cette semaine en France. Selon un sondage publié par le Figaro, 69% des Français sont d'accord avec l'expression "sentiment de submersion". Malgré les menaces socialistes, on imagine mal désormais que le Premier ministre soit renversé sur cette polémique.
En France, le gouvernement va-t-il être renversé pour un mot malheureux ? Le Premier ministre François Bayrou a utilisé le terme de "submersion" pour qualifier l'immigration. Une formule que le parti socialiste a immédiatement condamnée. Résultat, le PS a rompu ses négociations sur le budget. François Bayrou s'est-il tiré une balle dans le pied ?
Elio Di Rupo dénonce les propos "ahurissants" de François Bayrou sur l'euthanasie. Le Premier ministre français a, en effet, déclaré que "la Belgique aide à mourir des adolescents simplement parce qu'ils étaient mal dans leur peau."
Dans l’émission "Ils mériteraient d’être dans le journal" sur bel RTL, l’humoriste belge Richard Ruben a dévoilé qu’en 2006, François Bayrou, l’actuel Premier ministre français, lui avait proposé un poste de conseiller.
François Bayrou sauve son gouvernement grâce à la neutralité stratégique des socialistes, obtenue via des concessions clés. Pendant ce temps-là, François Hollande semble manœuvrer en coulisses, visant peut-être un retour sur le devant de la scène.
En France, le Premier ministre a prononcé, hier, son discours de politique générale. Une feuille de route très centriste qui ne devait fâcher personne... mais qui n'a pas rencontré l'enthousiasme. Résultat, la question est toujours la même : le gouvernement Bayrou passera-t-il l'hiver ?