Donald Trump s’en prend au Time après la publication d’une Une qu’il juge « désastreuse ». Le président américain reproche au magazine d’avoir choisi « la pire photo de tous les temps », estimant qu’elle le fait « perdre ses cheveux ».
Le Hamas refuse de déposer les armes sans création d’un État palestinien indépendant. Le mouvement islamiste palestinien répond à l’émissaire américain Steve Witkoff qui aurait déclaré : « Nous sommes très proches de mettre fin à cette guerre. »
Internet n’oublie pas. De vieux tweets (X) de Donald Trump accusant le président de l’époque, Barack Obama, de vouloir « entrer en guerre contre l’Iran » dans le seul but d’être « réélu » refont surface. Une prise de position qui interpelle, après les attaques américaines menées par Trump contre le pays du Moyen-Orient.
Le sommet de l’OTAN à La Haye s’ouvre ce mardi dans un contexte extrêmement tendu au Moyen-Orient. Tous les yeux seront tournés vers le président Donald Trump après les attaques américaines sur l’Iran. La présence du Républicain doit d’ailleurs être confirmée.
Des explosions secouent Doha et Lusail alors que des missiles iraniens auraient visé la base US d’Al-Udeid au Qatar, en pleine escalade après les frappes américaines sur l’Iran.
L’effet aura été immédiat, l’entrée en guerre des États-Unis face à l’Iran a fait bondir les prix du pétrole brut dès les premiers échanges asiatiques ce matin : presque 6 %.
Israël et l’Iran ont repris leurs échanges de missiles. L’armée israélienne annonce avoir frappé des sites de missiles et d’autres infrastructures militaires dans l’ouest de l’Iran, qui menace désormais clairement les États-Unis de représailles.
Plus d’une centaine de Belges seraient présents en Iran. Depuis la récente escalade du conflit au Moyen-Orient, certains ont pris la décision de quitter le pays et de rentrer en Belgique. C’est le cas d’Ali, belgo-Iranien qui était bloqué à Téhéran, mais qui est finalement parvenu à rentrer en évitant les bombes.
Israël et l’Iran ont échangé barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive ce mardi, malgré les appels à la désescalade des grandes puissances, Donald Trump appelant face à la confrontation à « évacuer Téhéran immédiatement ».
Suite à l’escalade du conflit entre Israël et l’Iran, faut-il craindre une hausse du prix du pétrole ? Tous les regards sont tournés vers le détroit d’Ormuz, un détroit clé par lequel transite 20 % de la production mondiale de l’or noir.
Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a promis samedi une riposte « plus forte » si Israël poursuivait ses frappes, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu disant vouloir frapper « tous les sites du régime », au deuxième jour d’une attaque sans précédent contre la République islamique.