Derrière les négociations sur le Donbass se cache une stratégie russe bien plus vaste : priver l’Ukraine de l’accès à la mer Noire et légitimer l’expansion par la force. Un risque d’escalade majeur, analysé par une experte d’Oxford.
Emmanuel Macron a réuni, ce mardi 11 mars à Paris, une trentaine de chefs d'état-major venus de toute l'Europe pour définir une stratégie de sortie de guerre en Ukraine. Il retrouve à cette occasion une stature internationale mais aussi nationale. En difficulté depuis plusieurs mois, le président français a repris la main en tant que chef des armées.
Moscou met en garde : tout déploiement de troupes de l'Otan en Ukraine serait perçu comme une menace. Sergueï Lavrov assure que la Russie ne tolérera aucune force occidentale sur le terrain. Pendant ce temps, un cessez-le-feu de 30 jours entre Kiev et Moscou est en discussion.
Après avoir accordé à nouveau son aide militaire à l'Ukraine, le président Trump va désormais parler avec son homologue russe, comme l'a réclamé Volodymyr Zelensky.
La Belgique a pour ambition de réinvestir dans la Défense afin de faire front face à la menace russe et au manque de soutien américain. Près de 4 milliards d'euros devront être déboursé d'ici la fin de l'année 2025, mais comment faire ? Où va-t-on trouver une telle somme d'argent ?
Après les discussions "positives" entre les Etats-Unis et l'Ukraine en vue d'une fin de conflit avec les Russes, le président ukrainien veut que les Américains l'aide à convaincre l'ennemi.
Ce mardi, une importante rencontre entre l'Ukraine et les États-Unis a lieu en Arabie Saoudite. Il s'agit de la première réunion entre ces deux pays depuis la visite désastreuse de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche fin février.
Charles Michel estime qu'une troisième guerre mondiale "est possible" et appelle l'Europe à renforcer sa défense collective et à faire preuve de fermeté face à la Russie, plaidant pour une réponse coordonnée et ambitieuse.
L'Australie pourrait envisager de prendre part à une mission de maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu, a indiqué dimanche son Premier ministre Anthony Albanese, tout en précisant qu'il était encore trop tôt pour un déploiement de ses forces armées.
Donald Trump a affirmé vendredi qu'il imposerait à la Russie de nouvelles sanctions si elle ne cessait de "pilonner" l'Ukraine et rechignait à la paix, mais a épargné Vladimir Poutine après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur des villes et infrastructures du pays ravagé par plus de trois ans de guerre.
Plus tôt vendredi, Donald Trump avait toutefois menacé la Russie de nouvelles sanctions bancaires et de droits de douane, dénonçant les bombardements continus contre l'Ukraine.
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