Accueil Actu Belgique Faits divers

Quarante personnes verbalisées à Ixelles pour ne pas avoir trié leurs déchets

La zone de police Bruxelles-Capitale/Ixelles a mené vendredi une opération de contrôle des sacs poubelles à Ixelles, a-t-elle communiqué lundi. Elle a constaté 192 infractions. Quarante personnes ont été verbalisées pour ne pas avoir trié correctement leurs déchets ou ne pas avoir déposé leurs poubelles dans la rue selon les horaires prévus.

La zone de police a nettoyé et fouillé une quantité d'environ 1.650 kilos de déchets vendredi à Ixelles. L'opération s'est déroulée dans le cadre de la lutte contre les nuisances causées par les décharges illégales. "Ces actions ont lieu régulièrement et cette fois-ci, elles ont été menées en collaboration avec le service de propreté de la commune d'Ixelles et l'agence régionale Bruxelles-Propreté", a-t-elle expliqué.

"Ces actions ont donné lieu à 192 infractions. Par exemple, 40 personnes ont été verbalisées pour avoir déposé leurs déchets dans la rue sans tri ou en dehors des horaires prévus. Par ailleurs, 39 procès-verbaux ont été dressés pour des personnes jetant leurs mégots de cigarettes dans la rue et six procès-verbaux ont été dressés pour des crachats dans la rue", a détaillé la zone de police locale.

"La circulation a également été étroitement surveillée pendant l'opération, donnant notamment lieu à 49 procès-verbaux SAC [sanctions administratives communales] et à 12 procès-verbaux pour des infractions au code de la route", a-t-elle ajouté.

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Du changement pour les élèves en première secondaire dès 2026 : une matière enseignée « depuis des lustres » va-t-elle disparaître ?

Du changement est prévu dès la rentrée prochaine pour les élèves qui entrent en première secondaire. Il concerne le fameux tronc commun. Des horaires, le contenu des cours ou encore le CEB sont concernés par des modifications. Comment réagit le secteur à ces différentes annonces ? Certains saluent l’arrivée des cours axés sur le numérique, d’autres s’inquiètent pour l’avenir de leur matière.