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Georges-Louis Bouchez menacé sur Facebook : une arme a été retrouvée au domicile du suspect

Par RTL info
Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, face à des menaces persistantes. Lors d’une perquisition menée chez l’un de ses détracteurs, la police a découvert une arme. Le chef libéral dénonce un climat de violence politique alimenté, selon lui, par les leaders de la gauche.

Le parquet de Charleroi a confirmé dimanche après-midi l’existence de menaces à l’encontre de Georges-Louis Bouchez, avant une activité du parti mercredi dernier à Thuin (Hainaut), comme l’a révélé le président du MR dimanche midi sur VTM.

« Il y a eu des menaces proférées à mon égard. La police a perquisitionné le domicile d’une personne qui m’avait menacé et, manifestement, ils ont retrouvé une arme », a-t-il confié.

Le suspect, auteur de la menace « sans ordre ni conditions » a été relaxé. Une arme à feu a été saisie au domicile de ce dernier.

Le parquet de Charleroi a confirmé qu’une visite domiciliaire a eu lieu chez un suspect à Thuin (Hainaut), connu de la justice pour des faits liés aux produits stupéfiants. Une publication Facebook, sur un groupe réunissant des habitants de Thuin, a éveillé les soupçons de la justice. « On y voit une caricature de Georges-Louis Bouchez et le suspect a publié en dessous une cible avec des impacts dessus. Il ne s’agit pas d’une menace de mort, mais d’une menace sans ordre ni conditions », a révélé le parquet carolo.

L’opération policière effectuée au domicile de l’individu, auteur de la menace et qui est un adepte de la pratique du tir, a conduit à la saisie d’une arme à feu et de munitions. « Le suspect a été auditionné, avant d’être relaxé », a ajouté le parquet de Charleroi.

GLB accuse la gauche

« Chaque jour, j’entends des mensonges dans la bouche de Raoul Hedebouw (président du PTB) et de Paul Magnette (président du PS). La violence augmente dans notre pays, et ils en portent une grande part de responsabilité. On peut vouloir mener un combat politique dur, mais il ne faut jamais mentir », a déclaré le libéral qui estime que les partis de gauche sont responsables de ce climat anxiogène.

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