Accueil Actu Belgique Société

Chantier de l'E411 à Daussoulx: voici ce qui vous attend pour la prochaine phase des travaux

Nouvelle phase de travaux sur la E411 autour de Daussoulx. Le chantier vers Bruxelles est terminé. À partir de lundi, c'est l'autoroute vers Namur qui sera en chantier. Quelles seront les conséquences concrètes pour les automobilistes ?

Une autoroute rénovée en profondeur avec un nouveau revêtement : les travaux vers Bruxelles sont terminés. Il ne reste que quelques finitions à réaliser.

Entamé en mars de l'an dernier, le chantier concerne à partir de ce lundi l'autoroute en direction de Namur, avec une circulation concentrée principalement sur deux bandes. "La circulation vers Bruxelles s'effectuera en bandes d'arrêt d'urgence et voies de droite. La circulation vers Namur s'effectuera sur des bandes déviées en contresens sur les bandes accueillant habituellement le trafic vers Bruxelles", explique Guillaume Fraikin, adjoint à la communication à la SOFICO.

rtl_info_13h_clean

Cette nouvelle phase ne signifie donc pas un retour à la normale vers Bruxelles. Avec encore une vitesse limitée à 70 km par heure et une circulation parfois compliquée, comme c'est le cas depuis le début de ce vaste chantier. La fin des travaux sur ce tronçon de 14 km est prévue pour la fin de cette année. "Le chantier de réhabilitation des voies vers Namur durera moins longtemps que le chantier de réhabilitation des voies vers Bruxelles étant donné notamment la configuration du chantier. Ici la zone de chantier sera libre de tout trafic", justifie Guillaume Fraikin.

À partir de lundi, l'accès à l'autoroute sera fermé à hauteur d'Éghezée vers Namur. Une rénovation de l'E411 dont le budget s'élève à 45 millions d'euros.

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.