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Ophélie a une combine pour ne pas payer son intervention de chirurgie esthétique: "Je suis stressée", admet-elle cependant

Chaque mercredi à 19h55 sur RTL TVI, le magazine d'information "Coûte que coûte" revient sur un phénomène de société. Cette semaine, l'émission s'intéresse à la chirurgie esthétique. 

Le culte du corps, l’obsession du visage parfait, règnent en maître sur les réseaux sociaux. Résultat : de plus en plus de jeunes se tournent vers la chirurgie esthétique pour mieux correspondre aux diktats de la beauté version TikTok ou Instagram. Et vous allez le voir qu’en France, certains acceptent de se prêter à de véritables shows pour accéder à ces opérations gratuitement.

Peut-être avez-vous déjà rêvé de vous faire repulper les lèvres, affiner le nez, ou rebomber les fesses à la Kim Kardashian ? Remodeler son corps coûte cher. Mais vous allez découvrir qu’il est possible de se faire offrir ces interventions gratuitement.

Un modèle de "démonstration"

Ophélie souhaite se faire des injections d'acide hyaluronique. Mais ces piqûres coûtent en moyenne 369 euros, un prix élevé. Pour ne pas avoir à dépenser un euro, la jeune femme s'est portée volontaire pour jouer les modèles de "démonstration". Son intervention est réalisée devant le public d'un médecin esthétique, qui souhaite montrer son travail à de potentielles clientes. Si la pratique peut sembler surprenante, elle est bel et bien courante. 

Un phénomène d'ampleur 

Le culte du corps, l’obsession du visage parfait, règne en maître sur les réseaux sociaux. Résultat : de plus en plus de personnes se tournent vers la chirurgie esthétique pour gommer des imperfections souvent imaginaires et mieux correspondre aux diktats de la beauté « filtrée » version TikTok ou Instagram. Une chose est sûre : les jeunes sont de plus en plus souvent tentés par les injections ou le bistouri. Une tendance à la hausse qui se retrouve chez nous aussi, surtout depuis la crise sanitaire. Difficile de savoir exactement combien d’interventions sont pratiquées chaque année puisque l’acte, s’il est purement esthétique, n’est pas remboursé par l’INAMI. On estime néanmoins qu’il y en a 200.000 par an.

 

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