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Interviewé sur les ondes d'RTL, Yvan Attal est revenu sur la disparition, en juillet dernier, de Jane Birkin, sa belle-mère, et même sa "très belle-mère", comme il l'appelle.
Pour ses proches, la douleur est encore bien présente. "C'est difficile", a-t-il confié.
Il est revenu sur le moment difficile de la disparition de la chanteuse. "C’est très douloureux, elle était un peu malade, donc on pouvait s’y attendre. Mais quand ça arrive, c’est toujours surprenant, on ne s’y attend pas… C’est comme si on ne s’y attendait pas", a-t-il poursuivi.
L'acteur et réalisateur s'est ensuite exprimé sur les très bons rapports qu'il avait avec Jane Birkin.
"Ma belle-mère, c’était d’abord ma très-belle-mère. Cela fait trente ans que je suis avec Charlotte et j’ai toujours eu la chance d’avoir cette belle-mère sublime devant moi", a-t-il d'abord raconté.
Il a souligné sa générosité et a raconté qu'elle avait eu un rôle très important pour lui. "Moi qui suis enfant unique, elle me rendait service, elle allait voir ma mère quand je n’étais pas là, que je travaillais… Elle passait énormément de temps avec. Et, parfois, elle me remontait les bretelles quand elle trouvait que je n’y allais pas assez ! […] Ma mère a perdu une présence qui lui était très très chère".
