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Remco Evenepoel va-t-il vraiment boucler le transfert du siècle ? Son patron réagit à l'incroyable rumeur

L'émission Dans le Peloton est revenue, pendant plusieurs minutes, sur l'incroyable rumeur menant Remco Evenepoel chez Ineos. Jurgen Foré, son patron chez Soudal-Quick Step, a répondu de façon on ne peut plus claire.

> Regardez l'émission Dans le Peloton en intégralité

Remco Evenepoel va-t-il vraiment signer un contrat chez Ineos dans les prochaines semaines ? La rumeur enfle depuis quelques jours, alors que des médias italiens ont évoqué un transfert dès la fin de la saison. Forcément, cette information a été évoquée ce mardi dans l'émission Dans le Peloton, où nos experts ont pu donner leur avis.

Mais le mieux placé pour en parler était Jurgen Foré, le CEO de Soudal-Quick Step. Pour le patron de Remco Evenepoel, il n'est pas question d'un transfert jusqu'ici. "Il y a des rumeurs et c’était déjà le cas avant que je sois dans l’équipe. La seule chose que je peux poser sur la table, c’est un contrat qui court jusqu’à fin décembre 2026. C’est la réalité contractuelle. Il y a des rumeurs, mais il y a des contrats et c’est ça qui compte", a réagi le patron de l'équipe.

Pour contrecarrer ce possible plan d'Ineos, Soudal Quick-Step est-il prêt à prolonger Remco Evenepoel, potentiellement à vie comme Mads Pedersen chez Lidl-Trek, par exemple ? "C’est le plus gros contrat de l’équipe, on a fait tous nos efforts dans le rétablissement de Remco. Maintenant, il est sur le vélo, pour moi ce n’est pas le moment pour avoir ce type de discussion. C’est focus sur la course. Ce n’est pas le moment maintenant", a réagi le CEO, qui dément l'idée d'un contrat à vie.

"Cela fait partie du jeu"

Pour nos consultants, cette rumeur n'a pas vraiment de fondements et il faut donc rester prudent à ce sujet. "On parle d’un coureur qui a encore un contrat pour 2 saisons. Ineos est déjà venu, il y a 2 ou 3 ans. Cela fait partie du jeu et ce journaliste a eu le privilège qu’on parle un peu de lui dans tout le monde du cyclisme", estime par exemple Frédéric Amorison. 

"Tous les ans, on colporte des rumeurs. Il y a des agents qui mettent un peu la pression sur des journalistes, tout ça fait partie du débat. Il est logique qu’une équipe de ce statut s’intéresse à l’un des trois plus grands coureurs du monde, dans les courses à étapes", juge de son côté Stéphane Thirion.

 

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