La députée belgo-iranienne Darya Safai a affirmé que l’Iran a planifié de l’enlever. Dans un message sur X, elle clame sa volonté de poursuivre ses combats.
Selon l’agence de presse officielle iranienne, les bombardements israéliens auraient déjà fait 935 morts en Iran depuis 5 jours. Un cessez-le-feu est entré en vigueur mais il reste très fragile. Alors cette trêve peut-elle tenir ? Et sait-on si les frappes américaines ont finalement détruit les sites nucléaires iraniens ?
Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a utilisé mercredi un surprenant surnom pour qualifier le président américain Donald Trump : « Daddy » (« Papa »).
Internet n’oublie pas. De vieux tweets (X) de Donald Trump accusant le président de l’époque, Barack Obama, de vouloir « entrer en guerre contre l’Iran » dans le seul but d’être « réélu » refont surface. Une prise de position qui interpelle, après les attaques américaines menées par Trump contre le pays du Moyen-Orient.
En marge du sommet de l’Otan à La Haye, Donald Trump a assuré que la trêve entre l’Iran et Israël «se passe très bien» et que le programme nucléaire iranien a été retardé de plusieurs «décennies». De son côté, Israël dit qu’il est «encore tôt» pour évaluer les dommages.
L’Iran exécute trois hommes accusés d’espionnage pour Israël, en pleine trêve fragile entre les deux ennemis jurés. Des exécutions qui s’inscrivent dans une répression accélérée contre les « collaborateurs du régime sioniste ».
Alors que les tensions entre Israël et l’Iran ont franchi un nouveau seuil le 13 juin, la question du programme nucléaire iranien revient au cœur des tensions internationales.
Donald Trump a annoncé lundi que l’Iran et Israël, en guerre depuis le 13 juin, avaient accepté un cessez-le-feu qui doit déboucher sur « la fin officielle » du conflit. Mais l’Iran affirme ce mardi matin qu’il n’y a « pas d’accord » à ce stade.
Le sommet de l’OTAN à La Haye s’ouvre ce mardi dans un contexte extrêmement tendu au Moyen-Orient. Tous les yeux seront tournés vers le président Donald Trump après les attaques américaines sur l’Iran. La présence du Républicain doit d’ailleurs être confirmée.
Après les frappes américaines en Iran, le marché pétrolier réagit modérément. Si le prix du baril a légèrement augmenté, l’impact à la pompe reste pour l’instant limité. Mais une fermeture du détroit d’Ormuz pourrait tout bouleverser.
Des explosions secouent Doha et Lusail alors que des missiles iraniens auraient visé la base US d’Al-Udeid au Qatar, en pleine escalade après les frappes américaines sur l’Iran.
En Europe, le dossier iranien est venu bousculer l’agenda du conseil des ministres des Affaires étrangères qui se déroule en ce moment à Bruxelles. L’ordre du jour a été adapté et l’Europe privilégie jusqu’ici une solution diplomatique.
Alors que les tensions entre l’Iran, Israël et les États-Unis atteignent un nouveau sommet, la République islamique pourrait paradoxalement tirer parti de la situation pour consolider son autorité intérieure, au prix d’une répression accrue.
L’effet aura été immédiat, l’entrée en guerre des États-Unis face à l’Iran a fait bondir les prix du pétrole brut dès les premiers échanges asiatiques ce matin : presque 6 %.
Israël et l’Iran ont repris leurs échanges de missiles. L’armée israélienne annonce avoir frappé des sites de missiles et d’autres infrastructures militaires dans l’ouest de l’Iran, qui menace désormais clairement les États-Unis de représailles.
Dimanche en fin d’après-midi, le Parlement iranien a décidé de fermer le détroit d’Ormuz. Si cette décision est validée par le Conseil suprême de Sécurité nationale de l’Iran, l’industrie pétrolière sera touchée, et c’est toute l’économie mondiale qui pourrait être impactée.
Plus d’une centaine de Belges seraient présents en Iran. Depuis la récente escalade du conflit au Moyen-Orient, certains ont pris la décision de quitter le pays et de rentrer en Belgique. C’est le cas d’Ali, belgo-Iranien qui était bloqué à Téhéran, mais qui est finalement parvenu à rentrer en évitant les bombes.
Cet après-midi, chose excessivement rare, le Pentagone a détaillé l’organisation de sa mission « Marteau de Minuit » contre l’Iran lors d’une conférence de presse exceptionnelle. Il s’agit d’un plan d’attaque millimétré, d’une grande complexité qui a permis que l’Iran ne se doute de rien.
Notre correspondante RTL Bethsabée Salem fait un point sur la situation à Tel Aviv à la mi-journée. Israël a été visé par des tirs de missiles en riposte aux frappes américaines sur l’Iran dans la nuit de samedi à dimanche. Si les Israéliens restent très divisés sur la guerre menée par Netanyahou à Gaza, ils sont presque unanimes sur celle menée contre l’Iran.
Les États-Unis ont bombardé trois sites nucléaires iraniens. Cette escalade militaire au Moyen-Orient marque un véritable tournant dans le conflit. Une experte affirme que l’on continue de « basculer vers une période très sombre ».123anciens ›dernier »