L’opération américaine sur trois sites nucléaires iraniens viole les règles du droit international, selon Elena Aoun. Pour elle, Donald Trump a pris une décision qui rappelle celle qui a mené à l’attaque de l’Irak dans le passé.
Les États-Unis bombardent trois sites nucléaires iraniens, Trump célèbre une « attaque réussie » et appelle à la paix. L’Iran promet des représailles, Israël prépare une longue guerre. L’escalade militaire inquiète la communauté internationale.
Trois sites nucléaires iraniens ont été visés par des frappes américaines la nuit dernière. Il s’agit de sites stratégiques dont certains ont des spécificités qui ne permettent pas à Israël de les atteindre. Voici ce que l’on en sait.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a accusé samedi Israël d’entraîner la région vers un « désastre total », au neuvième jour de la guerre avec l’Iran. Le président Erdogan répète que la Turquie est prête à jouer un rôle de facilitateur pour aider à mettre fin au conflit.
La tension est à son comble en Iran après une série de nouvelles frappes massives. Israël affirme avoir tué un commandant en charge de la coordination avec le Hamas. Le site nucléaire d’Ispahan a également été touché, selon une source militaire israélienne.
Rafael Grossi, directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique, a alerté vendredi sur les risques majeurs qu’une attaque contre la centrale nucléaire de Bouchehr pourrait faire peser sur la région.
Donald Trump prendra une décision sur une éventuelle participation américaine aux frappes lancées par Israël contre l’Iran « au cours des deux prochaines semaines », estimant « substantielle » la possibilité de négociations avec Téhéran, a fait savoir jeudi la Maison Blanche.
Pendant que le guide suprême iranien est visé par de virulentes déclarations israéliennes, les civils paient un lourd tribut dans un conflit de plus en plus étendu entre Israël et l’Iran. Benjamin Netanyahu s’est exprimé lors d’une interview.
Des missiles iraniens frappent Israël : violentes explosions à Tel-Aviv et Jérusalem, sirènes d’alerte en cascade et impacts signalés, dont sur un hôpital. Au moins 47 personnes blessées. Tensions à leur comble depuis l’attaque israélienne du 13 juin.
Surnommée « briseur de bunker », la bombe GBU-57 MOP est l’arme la plus puissante de l’arsenal non nucléaire américain. Conçue pour frapper les sites souterrains les plus protégés, elle pourrait jouer un rôle clé dans un conflit avec l’Iran.
L’ayatollah Khamenei, guide suprême d’Iran, a pris la parole mercredi en réaction aux menaces proférées la veille par Donald Trump. Il affirme que son pays « ne se rendra jamais » et met en garde les États-Unis contre toute intervention dans le conflit avec Israël. De son côté, le président américain en remet une couche.
Mehdi Taremi a donné de ses nouvelles pour la première fois depuis plusieurs jours. Le joueur de l’Inter Milan est bloqué et ne peut pas jouer en raison des bombardements qui frappent l’Iran
Donald Trump a assuré lundi que son départ anticipé du G7 n’avait « rien à voir avec un cessez-le-feu » entre Israël et l’Iran, et a reproché au président français Emmanuel Macron de n’avoir « rien compris » à ses intentions.
Israël et l’Iran ont échangé barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive ce mardi, malgré les appels à la désescalade des grandes puissances, Donald Trump appelant face à la confrontation à « évacuer Téhéran immédiatement ».
Suite à l’escalade du conflit entre Israël et l’Iran, faut-il craindre une hausse du prix du pétrole ? Tous les regards sont tournés vers le détroit d’Ormuz, un détroit clé par lequel transite 20 % de la production mondiale de l’or noir.
Une attaque israélienne a frappé les studios de la télévision d’État iranienne en pleine émission en direct. La présentatrice a été forcée de quitter soudainement le plateau. Les programmes en direct ont pu reprendre après une brève interruption.
Depuis le 13 juin et l’opération « Rising Lion » lancée par Israël, c’est l’escalade entre l’État Hébreu et l’Iran. Les deux pays échangent frappes et tirs de missiles visibles de loin, comme depuis ce mariage libanais.
Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a promis samedi une riposte « plus forte » si Israël poursuivait ses frappes, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu disant vouloir frapper « tous les sites du régime », au deuxième jour d’une attaque sans précédent contre la République islamique.
Attendu à Los Angeles pour préparer la Coupe du monde des clubs avec l’Inter Milan, l’attaquant iranien Mehdi Taremi est actuellement coincé à Téhéran en raison de la fermeture de l’espace aérien iranien.« premier‹ récents123anciens ›dernier »