Le président russe Vladimir Poutine a annoncé être en excellente santé. Le président de 73 ans a déclaré mercredi, lors d’une visite à une exposition à Moscou, qu’il avait récemment subi un bilan de santé à l’hôpital. « Dieu merci, tout va bien », a-t-il affirmé.
Poutine utiliserait plusieurs bureaux identiques à travers la Russie pour dissimuler en permanence sa véritable localisation, révèle une enquête de RFE/RL basée sur l’analyse de centaines d’images.
Une vidéo relayée sur X par l’ancien vice-ministre ukrainien de l’Intérieur relance les rumeurs folles qui circulent sur l’état de santé du président russe, Vladimir Poutine. L’homme de 73 ans y apparaît poings serrés, et veines enflées.
Une proche collaboratrice d’Alexeï Navalny, leader de l’opposition russe décédé l’année dernière en prison en Russie, publie pour la première fois des photographies d’une cellule, selon elle prises juste après le décès de l’opposant. « Il était allongé sur le sol, vomissant et hurlant de douleur », affirme la Fondation anticorruption dont elle préside le Conseil d’Administration.
Les États-Unis se disent « prêts » à mettre la pression sur la Russie pour parvenir à une paix dans la guerre en Ukraine. Ils exigent que les Européens les suivent dans cette démarche.
L’armée russe ne relâche pas la pression malgré les appels de plus en plus pressants à un cessez-le-feu, temporaire ou définitif, de la part de l’Europe et des États-Unis.
Alors que presque aucun dirigeant européen n’était présent lors du défilé militaire chinois, l’ancien Premier était en tribunes mercredi pour assister au spectacle. Ce qui ne surprend pas le spécialiste de la Chine Thierry Kellner, chargé de cours au Département de science politique de l’ULB.
Alors que presque aucun dirigeant européen n’était présent lors du défilé militaire chinois, l’ancien Premier était en tribunes pour assister au spectacle. Voici pourquoi.
Poutine, Erdogan, Modi et d’autres leaders eurasiatiques sont en Chine pour un sommet stratégique face à l’Occident. Pékin met en avant un ordre mondial « multipolaire », tandis que Moscou renforce ses alliances, notamment avec Pyongyang.
Dans une interview, le vice-président américain affirme que la Russie a fait « d’importantes concessions » lors de la visite de Vladimir Poutine en Alaska pour rencontrer Donald Trump, le 15 août dernier.
Lundi, Volodymyr Zelensky retrouvera Donald Trump dans le Bureau ovale pour une rencontre à haut risque. Au cœur des discussions : la paix en Ukraine, les exigences de la Russie, et le rôle de l’Europe, conviée cette fois à la table des négociations.
La région de Dnipropetrovsk, jusqu’ici entièrement sous contrôle ukrainien, est la cible de l’armée russe. Un village a été capturé, selon l’armée russe.
Lev Shlosberg, figure emblématique de l’opposition russe, a été arrêté pour avoir prétendument discrédité l’armée. Son appel au cessez-le-feu en Ukraine et son statut d’« agent étranger » semblent avoir précipité sa chute.
Trump évoque avec Poutine l’Ukraine et l’Iran, sans entrevoir de paix proche. Il presse Téhéran sur le nucléaire et voit Moscou comme un possible médiateur, malgré les tensions et le rapprochement russo-iranien depuis la guerre en Ukraine.
Un haut responsable russe s’est rendu à Pyongyang pour approfondir les liens militaires entre la Russie et la Corée du Nord, alors que la guerre en Ukraine entre dans une nouvelle phase.
Alors que les pourparlers entre Moscou et Kiev restent infructueux, Donald Trump se dit prêt à recourir à des sanctions contre la Russie si nécessaire.
À Paris, la statue en cire d’Emmanuel Macron a été dérobée au musée Grévin hier matin par des militants de Greenpeace. Ils l’ont déposée devant l’ambassade de Russie pour protester contre les liens économiques entre France et la Russie. Ce n’est pas la première fois qu’on s’attaque à une statue du musée Grévin, à tel point que la direction envisage de ne plus exposer de personnalités politiques.
Selon David Petraeus, ancien patron de la CIA, la Lituanie pourrait être la prochaine cible de Vladimir Poutine si la guerre en Ukraine aboutit à une victoire russe. Une inquiétude partagée par le chef de l’armée allemande, qui alerte sur une attaque potentielle contre l’OTAN.12anciens ›dernier »